Le journal non officiel
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Rennes le Chateau

 Le diable de Rennes le Chateau
 

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Pays de Couiza est le site des 24 communes du territoire, dans l'Aude, ou se situe Rennes le Chateau, Rennes les Bains, et les autres...
Le Centre de Tourisme Equestre de Blanchefort à Cassaignes 



JOURNAL

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Vendredi 16 Septembre 2005

Serres : Ils se sont unis

Le 27 Août dernier, notre village de Serres célébrait un mariage. Il s'agissait de l'union de Magalie Rossignol et Vincent Rousseaux. Malgré un temps incertain, les parents et amis des époux ont pu apprécier le cadre romantique de notre cité. A l'issue de cette cérémonie, une collecte au bénéfice du petit village de Madagascar " Marovasabe" et de Serres. La coquette somme de 348,60 euros a été comptabilisée.

Rennes les Bains : Le Raid Salé Samedi 17 septembre

Le raid salé, course pédestre entre Rennes les Bains et Sougraigne, 13 Km de course sur chemins et les sentiers jadis empruntés par les contrebandiers du sel, aura lieu samedi 17 septembre. Départ à 10 heures, place des deux rennes, à Rennes les Bains. Remise des prix à 13 heures. Renseignements au 04 68 69 82 94
du lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h


Couiza l'eau potable contaminée et interdite à la consommation.

Hier à 15 h 48, la mairie a reçu un fax émanant des services de la Ddass ( direction départementale des affaires sanitaires et sociales ).
Le texte, très clair, demandait au maire d'interdire l'utilisation de l'eau du robinet, aussi bien pour se désaltérer que pour préparer les aliments.
En attendant, les Couizanais sont alimentés grâce à l'usine d'embouteillage d'Alet les Bains. Le patron d'une entreprise locale a mis l'un de ses camions à la disposition de la commune pour aller chercher les palettes.




Sortie du 12 octobre 2005
Sortie des chercheurs et curieux au château du Bézu dans la nuit du 12 au 13 octobre.
Ames sensibles et peureux s'abstenir. Bivouac, grillades au Château

Une équipe de 5 chercheurs allemands fouillent dans le Cardou depuis plusieurs jours. Il semble que ces chercheurs soient des membres de l'association AMALA

Un film sur Rennes le Château vient d'être vendu aux enchères sur le site Ebay, ce film est de 1965, Monsieur Henry Fatin le châtelain du Château de Rennes le Château est un intervenant

Une petite statuette nous a été montrée par un habitant de Cassaignes. Il semble que cette statuette représente un templier étant donné l'usure de celle-ci, il nous a été difficile de vérifier son authenticité.
La statuette tenue dans la main d'Asmo



Conférences été 2005
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Vendredi 12 août 20 .00 "Le repas des chercheurs"

Le repas des chercheurs aura lieu au mini golfe de Rennes les Bains dans le parc ombragé, à cette occasion plusieurs conférenciers sont prévus dans le cadre d'une table ronde.
L'écrivain André Salaün, Michel Pous, Daniel Duges et sous réserve Franck Marie.
Repas : buffet froid et chaud au tarif de 15 euros par personne.
Renseignements et réservations Tel : 04 68 74 06 42

Réservations du repas :
les chèques de 15 euros par personne devront être libellés à l'ordre de :
L'hostellerie de Rennes les Bains
et envoyés à : cercle du 17 janvier domaine de Blanchefort 11190 Cassaignes

Nom :.........................
Prénom :.......................
Adresse :......................
Participation 15 euros / personne
Nombre de personnes : .....................



Le Secret de Marie-Madeleine.
Conférence du 16 août 2005

Conférence donnée le 23 juillet 2005 à Rennes-les-Bains, par Christian DOUMERGUE.

Ci-après, voilà brièvement présentés les différents points abordés lors de ma conférence : Le Secret de Marie-Madeleine, donnée le 23 juillet dernier au foyer cinéma de Rennes-les-Bains dans le cadre du cycle de conférences organisé par Jean SINET. Cette conférence sera à nouveau donnée le 16 août prochain, toujours à Rennes-les-Bains, cette fois-ci sous le patronage de l'Association Terre de Rhedae.

Résumé / Présentation : Marie-Madeleine est le premier témoin de la Résurrection de Jésus. " Ressuscité le matin, le premier jour de la semaine, il apparut d'abord à Marie de Magdala…" rapporte Marc XVI, 9… tandis que Jean, qui fait également de la sainte le premier témoin de la Résurrection, donne de la scène un récit plus long, où l'on voit Jésus charger Madeleine d'annoncer la nouvelle aux disciples.
La sainte se voit ainsi investie d'un rôle fondamental : les théologiens du moyen-âge lui donneront le titre d'"Apôtre des apôtres". Renan dira pour sa part à propos de cet épisode : "La gloire de la résurrection appartient donc à Marie de Magdala. Après Jésus, c'est Marie qui a le plus fait pour la fondation du christianisme."
Dès lors, il est troublant de constater que Marie-Madeleine n'est pas mentionnée une seule fois dans les Actes des Apôtres, récit succédant aux évangiles et rapportant la naissance de l'Eglise. Plus intriguant encore, Pierre, qui jouait un rôle plutôt négatif dans les évangiles (Jésus va jusqu'à reconnaître Satan sous ses traits) est présenté, dans La Première épître aux Corinthiens XV, 3-7, comme le premier témoin de la résurrection.
Cela laisse l'impression d'une mise à l'écart. Littéraire, celle-ci est aussi cultuelle : le culte de la sainte n'est avéré en Occident qu'à partir du VIIIe siècle.
Traditionnellement, on explique cette mise à l'écart par la misogynie des Pères de l'Eglise. L'explication, si elle est séduisante, n'est pas satisfaisante. En effet, dans le même temps où l'on écarte Marie-Madeleine, on tend à donner plus d'importance à une autre femme des évangiles : Marie, mère de Jésus. Certains auteurs syriaques, comme Ephren, remplacent dans les transcriptions de textes antérieurs qu'ils réalisent, le nom de Marie-Madeleine, par celui de Marie, mère de Jésus. De nombreux ouvrages, comme le Livre de la Résurrection de Barthélémy, ou l'Homélie en l'honneur de la Vierge du Pseudo-Cyrille attestent de ce phénomène, qui laisse penser que la mise à l'écart de Marie-Madeleine par l'orthodoxie naissante, ne serait pas tant due à son sexe, qu'à elle-même.
Pourquoi ? Quel danger représentait la sainte pour l'Eglise romaine en devenir ? Si rien, dans les évangiles canoniques ne nous permet de le comprendre, différents textes apocryphes retrouvés en Egypte entre la fin du XVIIIe siècle et 1945, apportent un éclairage nouveau. Marie-Madeleine y est dépeinte comme le disciple préféré de Jésus et son héritière, tandis que Pierre est un imposteur qui a déformé le message du Christ.
Remettant en question deux-mille ans d'Histoire, ces textes nous permettent en outre de répondre par l'affirmative à une autre question : Marie-Madeleine est-elle réellement venue en Gaule, et y a-t-elle fini son existence, comme l'affirment les vies de saints du moyen-âge ?
Une fois résolue, cette question en amène naturellement une autre : où Marie-Madeleine a-t-elle réellement débarquée en Provence ? sachant que la voix maritime reliant Rome (où la sainte s'est, selon certaines traditions locales, rendue pour rencontrer Tibère) à la Gaule n'abouti pas à Marseille mais à Narbonne ?
Christian DOUMERGUE.



Mardi 21 juin 21.00 "La Buvette", rue du Séminaire 11580 à Alet-les-Bains
"En ce temps-là, les dieux marchaient parmi les hommes... - Re-Vision des 11 premiers chapitres de la Genèse
par Nicolas de Léon.


Mardi 28 juin 21.00 "La Buvette", rue du Séminaire 11580 à Alet-les-Bains
"Des vaisseaux de pierres aux vaisseaux des Célestes" - Pour une certaine théorie de la "Transmutation"…"
par Nicolas de Léon.
Contact : Nicolas de Léon, Office de Tourisme Alet 04 68 69 93 56.


Samedi 2 juillet 15.00 "Domaine de la Sals" 11190 Sougraigne - Egalement le 6 août !
Saluons ce nouveau cycle de conférences dans un cadre idyllique!
"Les Templiers dans la Haute-Vallée"
par Georges Kiess.
Eminent président du C.E.R.T. (Centre d'Etudes et de Recherches Templières),


Mardi 5 juillet 21.00 "La Buvette", rue du Séminaire 11580 à Alet-les-Bains
"Rennes-le-Château et l'avènement de l'Ere du Verseau" - Etat des lieux, prospectives"
par Nicolas de Léon.


Samedi 9 juillet 15.00 "Domaine de la Sals" 11190 Sougraigne - Egalement le 13 août !
"Les Vortex - Nouveau regard sur la science"
par Jean Linares. A découvrir...


Mardi 12 juillet 21.00 "La Buvette", rue du Séminaire 11580 à Alet-les-Bains
"La " Maison de Nostradamus " à Alet - Sur la piste des descendants des rois juifs en Razès"
par Nicolas de Léon.


Samedi 16 juillet 15.00 "Domaine de la Sals" 11190 Sougraigne - Egalement le 20 août !
"Ovni Contact - Retour sur les événements du 5 novembre 1990"
par Franck Marie.
Spécialiste de RLC, Franck Marie avait créé le S.R.E.S. (Secrétariat aux Recherches et Etudes Spéciales) à Bagneux dans les années 70. Il a rédigé quelques livres en rapport avec notre histoire. Nous vous conseillons "RLC - Etude critique" et "Le surprenant message de Jules Verne".


Mardi 19 juillet 21.00 "La Buvette", rue du Séminaire 11580 à Alet-les-Bains
"La prophétie et le "Syndrome de Jonas" - Faire la part de l'inexorable et de l'évitable"
par Nicolas de Léon.
Contact : Nicolas de Léon, Office de Tourisme Alet 04 68 69 93 56.


Mercredi 20 juillet 20.30 "Le foyer cinéma", à Rennes les Bains
"Le secret dérobé" -
par Franck DAFFOS, présenté par Jean SINET.
L'affaire de Rennes le Château, le trésor de la haute vallée de l'Aude, la redécouverte au XVIIè siècle,
les acteurs de cette histoire, le secret des prêtres du Razès.
Organisé par l'association racines et recherches audoises ( loi 1901 )


Samedi 23 juillet 15.00 "Domaine de la Sals" 11190 Sougraigne - Egalement le 27 août !
"Les Enigmes de Bugarach - Et in Bugario"
par André Douzet.
Chercheur, écrivain et conférencier, André Douzet a déjà présenté avec succès cette conférence à "L'Ecluse au Soleil" en avril 2005.



Samedi 23 juillet 20.30 "Le foyer cinéma", à Rennes les Bains
"Marie-Madeleine, la reine oubliée" -
par Christian DOUMERGUE, avec la participation de Jean SINET.
La véritable histoire de Marie Madeleine et de Jésus, les premiers apôtres en Gaule du Sud, la véritable descendance de jésus, ariens, chrétiens ou catholiques.


Mercredi 3 Août 20.30 "Le foyer cinéma", à Rennes les Bains
"De Rennes le Château au Da Vinci Code : 60 ans de recherches" -
par Jean SINET, avec la participation de Pierre JARNAC.
Les procureurs, les mystificateurs, les chercheurs, vrais indices et faux documents, toutes les hypothèses et leurs origines ? Rabelais, Jules Vernes, Maurice Leblan, Arsène Lupin, Gaston Leroux, les frères Arago, Maurice Magre.


Samedi 6 Août 20.30 "Le foyer cinéma", à Rennes les Bains
"Le secret des Wisigoths" -
par Jean SINET
Leur histoire, leurs religions, leurs légendes, le rôle de rennes le Château, le dépôt trésoraire, la ligne perdue, les romans du Graal et la Table Ronde.


Lundi 8 Août 20.30 "Le foyer cinéma", à Rennes les Bains
"Le vrai trésor des templiers" -
par Jean SINET
Leur véritable origines, leurs commanditaires, leur histoire, leur vraie mission, leur héritage.
Le rôle des templiers du Languedoc-Roussillon


Mercredi 10 Août 20.30 "Le foyer cinéma", à Rennes les Bains
"Les OVNI et Rennes le Château" -
par Jean SINET
Témoignages et observations, une logique ? Le secret des montagnes de la haute vallée, le sanctuaire non profané, sommes nous sous haute surveillance ? Le savait-on et depuis quand ?

Article du Lundi 21 Février 2005

Reportage de Didier M

Le pèlerinage de Notre-Dame de Dusenbach est situé entre Ribeauvillé
et Sainte-Marie-aux-Mines -68-. La fondation du pèlerinage est l'oeuvre des
seigneurs de Ribeaupierre, anciens maîtres des châteaux dont les ruines
dominent la contrée. L'origine du pèlerinage remonte à l'époque des
croisades. Trois destructions, intervenant à des époques d'apogée, ont ruiné
et ravagé le pèlerinage. Ce qu'on voit aujourd'hui, l'image de la Vierge
exceptée, a été reconstruit une quatrième fois à la fin du XIXème siècle,
d'après les plans primitifs.

Le christ en bois daterait de 1894.

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Article du Lundi 31 janvier 2005

Article du journal Paris Jour
du Mardi 21 Février 1967

La D.S.T. (Direction de la Surveillance du Territoire, c'est à dire le contre espionnage) s'intéresse de près à l'enquête, ce qui donne à penser que la victime a pu être mêlée à une affaire d'espionnage. C'est un cheminot de la gare de Melun qui a découvert le corps à 4 h du matin sur le ballast, près du pont du chemin de fer. Les vêtements du mort étaient éparpillés non loin de lui. Sa montre était arrêtée à 23 h 27. C'est l'heure où le Paris Genève qui part de la gare de Lyon à 23 h 2 traverse la gare de Melun. Le Pakistanais est vraisemblablement tombé du train. Mais dans quelles circonstances ?... (Suit la description des voitures du Paris Genève et de leur système de verrouillage)... Il ne peut être question, par conséquent, que d'un suicide ou d'un crime. La première hypothèse n'est pas écartée, mais les enquêteurs ont trouvé beaucoup de détails troublants.

" Fakhar-Ul-Islam voyageait beaucoup. Le passeport de ce garçon de vingt ans porte une vingtaine de visas de différents pays. On a retrouvé aussi parmi ses papiers un arrêté d'expulsion de l'Allemagne de l'Ouest et plusieurs pièces d'identité qui portaient des photos d'hommes, des Pakistanais en turban et des Européens blonds, mais son portefeuille a disparu. Il semble que Fakhar-Ul-Islam ait débarqué à Orly le 16 février. Mais pourquoi a t-il été expulsé d'Allemagne ? On l'ignore, comme on ignore encore ce qu'il allait faire en Suisse.

" Autre détail curieux on aurait dû retrouver ses bagages à l'arrivée du train à Genève où la police, prévenue, a fouillé tous les wagons. Elle n'a pas découvert la moindre valise. Ce qui est anormal, car les vêtements du mort sont ceux d'un homme élégant qui ne devait pas voyager sans bagages.

" Un assassinat dans un rapide aussi fréquenté que le Paris Genève peut paraître difficile à réaliser. Mais il n'est pas impossible. Deux hommes qui guettaient le Pakistanais, dissimulés dans le soufflet, pouvaient fort bien le maîtriser par surprise et le précipiter sur la voie sans que personne s'en aperçoive ".

Or, un document adressé anonymement à quelques personnes et qui se rattache aux papiers Lobineau, puisqu'il est intitulé: Les Dossiers secrets de Henri Lobineau : à Monseigneur le comte de Rhedae, duc du Razès, le légitime descendant de Clovis 1er roi des rancs, sérénissime rejeton ardent du roi Saint Dagobert II, son humble serviteur présente ce recueil... etc., contient les phrases suivantes :

" L'affaire de Rennes le Château touche tout le Languedoc, c'est même une petite guerre entre services secrets. Un cas parmi les autres, la disparition de la serviette de cuir de Léo Schidlof transportée par un certain Fakhar-Ul-Islam. Cette serviette contenait les actes ainsi que les dossiers secrets de Rennes entre 1600 et 1900 et devait être remise le 17 février 1967 à un agent délégué par Genève en Allemagne de l'Ouest. Or Fakhar fut expulsé et se retrouva à Orly le 16 février. A Paris, il attendait des ordres. Il rencontra le 18 un certain Herbert Régis, ingénieur ; le 20 février, on retrouva le corps de Fakhar-Ul-Islam sur le ballast près de Melun. Il était tombé du rapide Paris Genève. Plus trace de serviette. Tel est un des multiples épisodes de cette guerre secrète.
Ici, le silence est règle d'or... ".

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Article du Mardi 27 Juillet 2004

Repas des chercheurs du 14 Août 2004 à 20 heures

A la demande de nombreux chercheurs et passionnés de l'histoire de Rennes le Château, sur une idée de Galahad nous avons décidé de faire le repas des chercheurs au domaine de blanchefort, ceci en plein air, face au château sus cité.
Pour des raisons d'intendance il est nécessaire que chaque participant amène sa chaise ou tabouret, le reste nous nous en chargeons.

Voici le menu que nous vous proposons :

- Apéro et amuses-gueules à volonté
- Entrées :
Diverses salades, niçoises, courgettes à la grecque, terrine préparée par Sylvie ( Marie )
- Civet de sanglier avec ses haricots
- Fromages
- Dessert
- Café
- Digestif
Vin à volonté

Pour ceux qui sont végétariens merci de nous le signaler afin que nous puissions leur faire un repas végétarien.

En se partageant les frais il faut compter une participation maximum de 7 euros par personne ( 50 francs ).

Nous avons déjà une cinquantaine de personnes intéressées, il est possible que nous soyons une centaine, il est donc nécessaire de réserver le plus tôt possible afin que nous nous organisions ( Clôture des inscriptions le 10 Août )

PS : Nous aurons peut être une animation musicale.

Pour réserver uniquement Tel: 04 68 74 06 42

Nous n'aurons peut être pas la chance d'avoir parmi nous notre administrateur préféré " Asmo" en effet celui-ci n'aime pas le sanglier " "ha,ha,ha,ha"

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Article du Samedi 24 Avril 2004

La dépouille de l'abbé Saunière déplacée


Le monument qui devrait accueillir la dépouille de l'abbé.

Depuis quelques jours, le village de Rennes le Château s'agite. La tombe de l'abbé Saunière, située dans le cimetière qui jouxte l'église, vient d'être ouverte. La dépouille du plus célèbre des curés de campagne en serra enlevée prochainement.
Ceci sur la demande de sa famille.
Ces héritiers veulent mettre les restes de leur parent à l'abri de toutes les folies. En effet, depuis de nombreuses années, la tombe est sans cesse l'objet d'actes de chercheurs de trésor et autres mystiques en tout genre.
La dépouille devrait rejoindre le monument cultuel construit en la mémoire de Béranger Saunière, construit tout dernièrement par la municipalité dans les jardins de la villa Béthanie, le domaine que possédait l'abbé à Rennes le Château.
Seul problème, cette décision ne plaît pas aux nombreux amoureux du site et encore moins aux chercheurs. Ces derniers se sont organisés et ont lancé une pétition. Plusieurs sites internet du monde entier ont réagi à cette nouvelle. Enfin, les contestataires ont envoyé une lettre au préfet de l'Aude.
Ils dénoncent le fait que désormais, " il faudra payer pour se recueillir sur la tombe de l'abbé Saunière". Et que sa volonté n'est pas respectée. D'après une enquête, seuls 42 % des visiteurs du site y viennent pour voir la tombe de l'abbé.

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Article de la dépêche du midi du 2 novembre 2006.

Rennes le Château : Après six ans de recherches, le maire de Rennes le Chateau met à mal toutes les théories fumantes.
Les nouveaux documents expliquent le " mystère " Rennes le Chateau

Après six années de recherches dans les archives, les bibliothèques, Jean-François Lhuillier, le maire de Rennes le Chateau apporte de nouveaux documents au dossier de l'abbé Saunière : une lettre de marie Dénarnaud au percepteur, son testament olographe, un acte du tribunal de Limoux et le détail des revenus de Marie Dénarnaud en 1939. Il raconte aussi pour la première fois ce qu'il a trouvé dans la tombe du curé lors de son transfert.

Pourquoi avoir fait des recherches ?
Pour deux raisons. En dehors de ma responsabilité de maire, je suis très attaché à ce site. Enfin, toutes ces théories, partant dans tous les sens, me semblaient être nuisibles à l'esprit du site.

Que nous apprennent les documents que vous avez retrouvés ?
Dans un document, enregistré à Limoux le 21 avril 1917, devant greffier, on apprend que les descendants, frères et sœurs ont refusé l'héritage de l'abbé François Bérenger Saunière, curé de la paroisse de Rennes le Chateau, décédé le 17 janvier 1917.

Le domaine revient donc à Marie Dénarnaud…
Personne ne réclame le domaine où vit la famille Dénarnaud. Je dis bien la famille. Le père et la mère entretiennent le domaine, paient les taxes. En conséquence et en fonction d'une disposition dite trentenaire de la loi française, le bien 30 ans après le renoncement des héritiers devrait appartenir à Marie Dénarnaud, la seule survivante de la famille.

Les documents que vous avez retrouvés le confirment-ils ?
Le testament olographe de marie Dénarnaud, signé en 1946, pour un an, ne respecte pas la disposition trentenaire. Il est donc nul. Il est a noter néanmoins que Marie durant cette période devait verser au Trésor les taxes du foncier bâti et non bâti. Soit la somme de quelque 2000 francs (de l'époque), en 1939.

Qu'est ce que ces documents nous apprennent d'autre ?
Ils nous font apparaître deux choses. La première, c'est que Marie Dénarnaud est quasiment illettrée. Ce qui met à mal ces soit disantes correspondances enflammées qu'elle aurait eu avec l'abbé Bérenger Saunière.
Deuxième chose, en 1939, des gens versaient des sommes importantes à Marie Dénarnaud. Pourquoi ? Le mystère reste entier.

Ni l'abbé, ni elle, ne possédaient donc d'argent?
L'abbé est mort avec des dettes d'épicerie. Nous en avons les preuves. Bérenger Saunière est un homme d'église, à la fois profond et pris dans une spirale de bâtisseur. Ces fonds, qui lui permirent de réaliser ces constructions sont extérieurs à la commune de Rennes le Chateau car l'abbé n'a jamais eu d'argent en propre. Il était payé par l'extérieur comme Marie Dénarnaud.

Vous avez une hypothèse à ce propos ?
Dans les années 1880 - 1890, il y avait une volonté d'un certain mouvement royaliste de rattacher le Languedoc et le Roussillon au comté de Barcelone. Le prêtre a participé activement à ce mouvement. Les gens que l'abbé a aidés, l'aident financièrement en retour pour ses constructions.
Revenons sur le transfert du corps du curé. Qu'avez-vous découvert ce jour là ?
Je rappelle que le déplacement de la tombe a été demandé par ses descendants. Le transfert des restes s'est fait en présence d'un avocat, d'un huissier de justice et d'un officier de gendarmerie. Au moment d'ouvrir la tombe, j'ai été animé de plusieurs sentiments. Qu'allait-on découvrir ? Le corps était-il entier ?
Tout était absolument normal. Le prêtre était seul. Son squelette était normal. On a aussi retrouvé un missel sur sa poitrine, qu'il tenait avec ses deux mains. L'huissier a pris toutes les photos. D'un coup, toute la littérature farfelue des années 1960 - 1995 est tombée dans la boue. Elle a fait plouf.

Vous avez conscience qu'avec ces nouvelles preuves, vous tuez une partie du mystère du site de Rennes le Chateau ?
Ce site, au paysage remarquable, est un lieu de force habité sans interruption depuis la période protohistorique. Qu'en ses flancs se trouve un quelconque trésor n'a rien d'invraisemblable. C'est pourquoi j'encourage les vrais chercheurs à poursuivre leurs recherches intelligentes.
Maintenant que penser des multiples titres (+ de 300 à ce jour) écrits à partir de données que l'on vient de démontrer fausses. A quand de véritables écrivains pour tracer de ce site une histoire riche et vraie où le mystère côtoie forcément le merveilleux ?
Je tiens à la disposition des personnes tous les documents en mairie de Rennes le Chateau.

Propos recueillis par E.D


Rennes le Château libéré
des rebelles par les paras.
La commune de Rennes le Château, l'instant d'une nuit a été le théâtre de
manoeuvres du 3eme RPIMa. Près de 130 militaires et la population a participé.


Avant de donner l'assaut, les parachutistes ont balancé des grenades fumigènes.

Depuis mercredi soir des rebelles tenaient Rennes le Château.
Les paras ont libéré les otages.

Armée. Durant deux jours, le 3eme RPIMa a effectué des manœuvres à Rennes le Château.
L'objectif : délivrer un groupe de personnes prises en otage par des rebelles. Les otages étaient tous des habitants volontaires. Quand aux rebelles, ils étaient dirigés par le maire de la commune.


Les rares habitants restants sont sortis avec un drapeau blanc


Au petit matin, les hommes du "3" ont donné l'assaut.

Hier, les hommes du RPIMa ont libéré une dizaine d'otages à Rennes le Château. Une mission périlleuse, réussie avec très peu de perte.
L'affaire avait débuté mercredi. Un groupe de rebelles, commandé par un ancien officier parachutiste, s'empare de Rennes le Château. Et prennent en otage une dizaine d'habitants. Heureusement, les autres réussissaient à s'enfuir.
Aussitôt prévenues, les plus hautes autorités de l'État décident d'intervenir et chargent les hommes du 3eme RPIMa de libérer les otages. Une opération est montée.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, les premiers commandos sont largués à 20 Km de l'objectif. Leur mission : reconnaître le terrain pour préparer l'assaut. Dès les premières lueurs du jour, le reste des troupes saute en parachute. Et au petit matin, les hommes du 3ème RPIMa donnent l'assaut à Rennes le Château.
Les rebelles sont embusqués dans trois endroits différents (caves, maisons..) autour de la mairie.
Pour se protéger, ils avaient mis des barrages un peu partout dans les rues pour bloquer l'accès. Mais, rien n'arrête le 3ème RPIMa. Dans un nuage d'épaisse fumée, les parachutistes ont donné l'assaut et tué une partie des rebelles, qui lâchement se servaient des otages pour se protéger. Tous ont été libérés. Mission accomplie.
Heureusement, tout ceci n'était qu'un exercice et les otages étaient tous volontaires.


Tous les rebelles survivants ont été neutralisés, jetés à terre et ligotés par les parachutistes.



Le chef des rebelles, un ancien officier parachutiste, a été fait prisonnier.



Une fois débusqués, les rebelles se sont servi des otages pour se protéger. Mais, ça n'a pas suffi



Les habitants de Rennes le château sont habitués à voir arriver dans leur petite commune des caravanes entières de passionnés d'histoire de l'abbé Saunière. Mais mercredi dans l'après midi, ceux-ci ont vu débarquer un tout autre genre de personnages, des hommes armés prenant possession du village. En effet, dans le cadre des entraînements du 3eme RPIMa, au sauvetage d'otages et plus particulièrement de ressortissants français en extérieur, les militaires Carcassonnais ont effectué de mercredi à jeudi de grandes manoeuvres sur la commune de Rennes le Château.
L'opération Mandragore.
Pour rester au (top niveau ), les militaires doivent s'entraîner. Et pour ce faire, ils doivent réaliser des exercices au plus proche de la réalité. C'est ce que s'est appliqué à reproduire le bureau d'opération et d'instruction du 3eme RPIMa en préparant " l'opération Mandragore ". Une véritable mise en scène touchant au plus près ce qui pourrait arriver a des ressortissants Français dans des pays très instables comme l'Irak, le Rwanda, la Côte d'ivoire et beaucoup d'autres encore.
Cette opération consistait donc à libérer des otages, des administrés volontaires de la commune, des mains de rebelles ayant apparu dans le village mercredi dans l'après midi.
Deux sections de combat organique, structures ternaires, une section d'appui et une section commandement ont participé à la manoeuvre, soit près de 130 militaires.
Le déroulement de l'exercice.
Dans la nuit du 29 au 30, les parachutistes ont sauté dans la région de Puivert et ont observé avec des appareils de vision nocturne les agissements des rebelles. C'est au petit matin qu'ils se sont lancés à l'assaut du village avec l'utilisation de munitions d'exercice, ce qui a fait du bruit et sûrement surpris les quelques habitants qui n'étaient pas au courant. La rapidité d'action des parachutistes a été si performante que les militaires ont été en avance sur le programme. En somme une vraie réussite : " pendant les manoeuvres tout s'est très bien déroulé. La population a été très sympathique et a grandement participé à l'opération en tant qu'otage. Cela nous a permis de travailler en situation réelle nos différents savoir faire " indique le lieutenant Bertrand Rives. A la fin de l'exercice, la population s'est vue présenter du matériel à " la Capitelle ", en particulier les appareils de vision nocturne. Ensuite les parachutistes ont orchestré une démonstration en chute libre sur la commune. En milieu d'après midi, toute la population de Rennes le Château était libérée.

Articles de la dépêche du midi et du Midi libre

Article du Mercredi 16 juillet 2003

Conférence à Rennes les Bains
Le mercredi 30 juillet et le mercredi 18 août au foyer de Rennes les Bains.

Antoine Captier et Daniel Dugès, présenteront le mercredi 23 juillet une conférence sur l'affaire de Rennes le Château. Ils abordent l'énigme sous un angle décalé par rapport à l'histoire traditionnelle.
Antoine Captier est un enfant de Rennes, il a passé sa jeunesse au cœur même du mystère. Son arrière grand père était le carillonneur de l'abbé saunière. Ses souvenirs de jeunesse sont ceux des gens qui ont connu Bérenger Saunière et sa bonne Marie Dénarnaud, dont il se souvient très bien lui même.
Par son mariage, il est en outre l'héritier de Noël Corbu et de tous les documents que constituent les papiers personnels, les comptes et la correspondance de l'abbé.
Daniel Dugès est professeur d'arts plastiques et d'histoire de l'art. Il travaille sur cette énigme depuis quinze ans, et il est le copropriétaire de documents inédits, constitués de parchemins et de courriers attachés à cette affaire. Spécialisé dans le décodage des parchemins et des œuvres d'art, l'étude qu'il présente avec Antoine Captier, détachée de toutes considérations spirituelles est une véritable enquête à travers l'histoire.
Tous les documents sont présentés en vidéo projection et largement commentés.
Cette conférence est destinée à un public assez large d'amateurs ou de débutants.
Le mercredi 18 août, Daniel Dugès fera une conférence plus destinée aux amateurs éclairés de cette histoire, elle sera plus particulièrement orientée sur l'examen de certaine œuvres d'art dont " les bergers d'Arcadie " de Poussin, et le décryptage et l'analyse des parchemins connus et d'autres totalement inédits.

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Article du Dimanche 6 juillet 2003

Compte rendu de la conférence du vendredi 4 juillet
au jardin de l'abbé à Rennes le Château

Vendredi 04 juillet, Jean Luc Robin, restaurateur de " la table de l'abbé " à Rennes le Château, nous a fait l'honneur de commencer le cycle des conférences qui se dérouleront tout les vendredi soir de l'été.
Cette conférence d'ouverture a commencé après le repas (buffet campagnard à volonté !) . Jean Luc nous raconte sa première fois à Rennes le Château, où âgé de sept ans, il accompagnait ses parents pour déjeuner au domaine de (feu) l'abbé Saunière, tenu à l'époque par Mr Buthion.
Qui aurait cru que quelques années plus tard il serait lui même restaurateur au domaine?
il nous raconte qu'elles sont ses propres conclusions sur cette affaire de trésor, qui l'a accompagné ça vie durant.
Selon lui, Saunière dès son arrivée, a reçu des dons par la Comtesse de Chambord, en relation avec le Marquis De Chefdebien, dont le précepteur n'était autre que Alfred Saunière, le frère de Béranger. Ces dons lui sont versés pour effectuer des recherches dans son église. Il y trouve des parchemins révélant un arbre généalogique et l'emplacement du tombeau des seigneurs, dans la crypte de l'église Marie Madeleine.
Saunière comprenant que les informations révélées par ces parchemins sont d'une grande importance, fait monter les enchères. La famille de Hasbourg en ayant besoin pour prouver
leur légitimité d'un pouvoir politique sur l'Europe, envoie Jean De Hasbourg pour un accord. Contrat accepté, (la famille paye ce que Saunière leur demande.)

Mais Jean Luc nous dit .Dons pour rechercher, petit magot laissé par Bigou sous l'autel, vente de documents, trafique de messes, et encore quelques dons, auraient finalement suffit à l'abbé pour réaliser les constructions du domaine, estimées à 24 millions de francs nouveau, soit 3.653.207 Euros . Saunière, très intelligent, aurait fait fructifier ses biens, grâce à des placements dans environ douze
banques, dont la banque Friedjdorg à Budapest.

Jean Luc nous fit remarquer que les deux érudits de Rennes le Château
à l'époque étaient le curé et le professeur, qui sans parenté aucune, s'appelaient tout les deux, Saunière. Ils ne se supportaient pas, mais le soir venu, le professeur ne crachait pas sur le Rhum importé de Martinique par l'abbé.

En contrepartie, le professeur du même nom que Bérenger, allait à la place du curé, retirer ses mandats à Couiza.

Pas de gros dépôt trésoraire à Rennes le Château pour Jean Luc Robin.

Mais qu'en est-il du fameux secret de Marie Dénarnaud, dont elle disait à Corbu, qu'il le rendrait riche ? Selon jean Luc, ce secret de Marie consisterait en un numéro de compte bancaire. Mais alors pourquoi Marie ne s'en est pas servie lorsqu'elle était sans le sou après la mort de l'abbé ? Parce que cette Banque était à l'étranger, et qu'elle n'avait rien d'une routarde.

Dans la littérature de Rennes, on peut lire qu'elle aurait dit : " L'argent du curé, il faut pas y toucher, c'est sacré " Jean Luc , je pose la question, qu'est ce que l'argent d'un compte bancaire a de sacré ?
Marie a dit également à Corbu : " Avec ce que monsieur le curé a laissé, on pourrait nourrir le village pendant cent ans, et qu'il en resterait encore. " Selon la conclusion de Jean Luc , il en découle une nouvelle interprétation.

Marie vivait depuis plusieurs années recluse dans une solitude insupportable. Voyant la famille Corbu, pleine de chaleur humaine, elle aurait par dépits essayé d'amadouer le chef de famille, et les quelques rentes de Marie auraient bien fait l'affaire de Corbu pour reprendre son industrie de sucre au Maroc.
S'il restait, elle le récompenserait au centuple. Cela se rapproche du comportement naturel, d'une grand mère, qui contre une bise de sont petit fils, lui promet le sou, sans jamais lui donner.

Après la conférence, débute un long débat où l'on eu droit a des révélations fracassantes sur le véritable secret de Rennes le Château, dont l'abbé Saunière n'a pas grand chose à voir. Ces choses se méritent, il fallait être là ! ;-)

Jérôme

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Les Animations de Rennes le Château

Le rendez vous des chercheurs

La crypte des seigneurs
Le testament de Mr de Rennes
http://www.renne-le-chateau.com/document/document.html#ancre10

Le news de Rennes le Château
les dernières nouvelles ( Pégase )
http://www.renne-le-chateau.com/new_info/new_info.html

Les animations et conférences de l'été

29 août 2003 Conférence
Paul Tirand
La franc-maçonnerie audoise de 1757 à 1946

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Article de l'indépendant
Vendredi 23 Mai 2003

Cassaignes
Expo avec l'artiste Caty Pech

Le vernissage de l'exposition de l'artiste Caty Pech a eu lieu dimanche dernier. Le maire de Cassaignes, André Rousseau avait tenu à associer à cette manifestation Henri Barbaza, président et Sylvie Clervoix, vice-présidente de la communauté des communes du Pays de Couiza et Jacques Hortala, conseiller général du canton.

La population du village ainsi que les amis de l'artiste se joignaient à cette sympathique réunion. Jacques Houpelain, peintre graveur, professeur à la retraite de l'histoire de l'art, qui vit à mi-temps à Cassaignes avait fait la critique des oeuvres de cette peintre. Ce spécialiste fut surpris de la qualité des tableaux de Caty avec une énergie dynamique qui entraîne une similitude avec la calligraphie chinoise.
M. Barbaza soulignait la vitalité du canton en matière de culture. L'artiste, quant à elle, remerciait ses parents dont le père fut son maître en peinture.

Elle nous confiait son attachement à cette commune et participe également à l'activité économique du village puisque Caty a peint les cochons sur les boîtes de pâté ou de boudin confectionnés par Anita et Claude Rodriguez, éleveurs de porc gascons.

L'exposition se poursuit ce week-end; le samedi 24 et dimanche 25 mai à Cassaignes, salle de la mairie face au lavoir.

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Article du Lundi 5 Mai 2003

Compte rendu de la journée du 1er mai
à Opoul-Périllos

Jeudi 1er mai était organisé la journée du projet Chronodrome dont beaucoup de passionnés de Rennes le Château ont eu connaissance par l'intermédiaire du film de George Combe.

Ce rassemblement annuel au pied du château de Perillos sur les hauteur de la commune d'Opoul (66600) a pour but de venir vérifier si des hommes du futur auraient trouvé le moyen de voyager dans le temps. En effet, 2005 sera l'année du lancement du satellite KEO servant de balise temporelle, l'altitude à laquelle il sera déposé par Ariane le maintiendra en orbite terrestre pendant 50 000 ans, jusqu'à son atterrissage signalé par une aurore boréale artificielle. Cette oiseau de 80 cm de diamètre, battant de ses deux panneaux solaires contient dans son ventre, une goutte d'eau, de sang humain, d'aire, et une pincée de terre arar. Le
plus important consiste à léguer à nos lointain descendants, des messages de millier de personnes, afin qu'ils puissent percevoir avec plus d'exactitude ce que fus leurs ancêtres du XXI siècle. Parmi ces messages numérisés plaqués sur support DVD, il y en a un spécial, celui de Pascal Guillaume. Ce jeune perpignanais a eu la judicieuse idée de poser une question simple à nos futurs archéologues.
La question est la suivante : « Si à votre époque vous avez la capacité de voyager dans le temps, venez nous faire un signe un 1er mai au couché du soleil, entre 2000 et 2050, au pied du château d'Opoul-Périllos, dans le sud de la France. »

La journée commence par un déjeuné près de la mairie d'Opoul.
A 14H30 commence la conférence de Jean Pollion, auteur d'un essai linguistique sur le langage des Ummites, extra-terrestres d'apparence humaine venant de la planète Ummo. La conférence se déroule normalement, plusieurs raccourci sur la genèse de cette histoire dénonce bien l'esprit scientifique dont se prévaut « Jean Paul Lion ». Qu'importe, les gens ne sont pas là par hasard, la moitié des spectateurs font partie de la liste de discussion du site Internet
www.ummo-science.org et sont venu des quatre coin de la France. Plusieurs espagnols n'ont pas hésité à faire le voyage afin de connaître cette géniale histoire de postiers extra-terrestres qui est né dans leur beau pays. Depuis 1966 des gens ordinaires (faisant partie du même groupe ésotérique) commencent à recevoir des lettres dont le contenu concerne divers branches de la science, comme la physiologie,
biologie, neurologie, chimie, astronomie, théologie, sociologie, signées du nom de leur différents auteurs Ummites, suivi d'un tampon comportant leur sigle )+( .La vie courante sur Ummo parait idyllique et amène à se poser des questions d'ordre social. Fin des année 30, l'Espagne est instable, différent partis francistes cherchent à acquérir le pouvoir politique. Le régime du gouvernement Ummite semble fonctionner admirablement sous une forme de communisme utopique, dont le dictateur n'est autre qu'une jolie jeune femme ! Comprend qui pourra.

Jean Pollion nous montre par rétroprojecteur une photo d'empreinte d'atterrissage, ainsi que les typiques soucoupes volantes (made in Ummo). Un spectateur déclare qu'il n'y a pas plus de deux ou trois Ummites dans la salle ! Les gens se dévisagent du regard, certains sourient, d?autres cultivent leur aire mystérieux laissant grandir l'imagination des plus crédules. Le seul signe par lequel ont peut reconnaître un Ummite, est sa voix, à la foi basse et nasillarde. Par conséquent chaque personne de grande taille devient immédiatement un suspect potentiel tant qu'il reste muet.

La conférence terminée, un débat commence, les questions sont diverses et nombreuses. Le groupe de la liste Ummo-science se retire entre eux pour poursuivre le débat dans l'église du village. Yves Lignon était ici incognito, tandis que Jean Pierre Petit fâché avec le groupe, n'a pas dénié faire acte de présence, peut être aurait-il fallu le prévenir plutôt de la présence des caméras de France 3.
Pendant ce temps, André Douzet nous raconte l'histoire d'un certain Raimond de Périllos chevalier de l'ordre de Malt. Selon la légende, Raimond de Perillos se serait livré sous terre à un combat contre un monstre mi-homme, mi-lézard appelé Babaos.

18H00, je fait la rencontre d'une femme au verbe juste et précis, il s'agit de la femme de Jean Pollion. Chose curieuse, elle est en parfait désaccord avec la théorie de son mari. Ex-directrice du département d'investigation à la SOBEB (la société de recherche ufologique officielle de Belgique) et linguiste de surcroît. Elle affirme que le langage Ummite est du chinois retranscrit phonétiquement afin d'être spécialement comprit par des espagnoles !
Par conséquent cette spécialiste considère l'affaire Ummite non pas com me une blague de trente sept ans, mais comme le travail de manipulation d'un petit groupe d'individus dont la motivations reste incomprise. Si elle a raison, ces personnes méritent plusieurs prix Nobel, si elle a tord, les extra-terrestres sont parmi nous depuis mars 1950.

19H00, le snack improvisé sur le parking en bas du château rassemble les participants. Les saucisses grillées nous réchauffe enfin, l'ambiance est bonne, sans plus. Pascal Guillaume fait de son mieux pour être le plus accessible possible avec les gens. Cependant personne ne daigne lever le nez afin d'observer un signe de nos lointains descendants que l'on a bien faillit oublier. Il faut dire que même les organisateurs ne semble pas réellement attendre quoi que ce soit, l'idée reste néanmoins très judicieuse.

Jérôme

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Article du 19 avril 2003

Conférence sur Rennes le Château
A L'auberge du chevalier à Camps sur l'Agly

Ce samedi 19 avril Daniel Dugès et Gérard Thome nous ont donné une conférence à la maison du Chevalier, commune de Camps sur l'Agly...
Faute de matériel informatique adapté, nous n'avons pas pu établir la connexion internet comme prévu … nous demandons, aux internautes qui comptaient poser des questions aux conférenciers, de bien vouloir nous en excuser . . .
Nous étions une vingtaine environ
Le premier plat consommé, Daniel Dugès et Gérard Thome commencent la conférence en nous parlant des fameux parchemins, identiques et dans le style de ceux publiés par Gérard de Sède dans " le trésor maudit " , le sujet principal, la relation entre Marie Madeleine et Jésus oriente petit à petit le débat vers les Saintes écritures ; pourquoi Marie Madeleine avait les moyens d'acheter de la mire ? …fort coûteuse à l'époque. Puis l'ambiguïté sur l'identité de marié lors des noces de Cana …
Toutes les personnes présentes n' étaient pas tous initiés aux mystères de Rennes ; les débats ont par conséquent été unilatéraux entre les conférenciers et quelques passionnés,
Nicolas de Léon, nous fait part de ses déductions sur la nature des liens de parenté entre le Christ et Barabas, puis la possibilité que le roi enterré prés de Rennes les Bains soit en fait le Dieu Pan d'Arcadie …
Le repas se poursuit … Daniel Dugès allume son ordinateur , quelques parchemins apparaissent à l'écran , puis il nous fait un court résumé sur le décryptage basé sur la Mortépée , la table de Vigénère et les cavaliers. Le décodage instantané à l'aide d'un logiciel de leur confection en a étonné plus d'un… les âmes naïves qui prenaient comme vérité les rumeurs sur l'origine des parchemins ont bien failli nous faire une attaque cardiaque.
Bouche ouverte, les bras ballants, un long silence s'installe . . . ( la démonstration était de taille) ; La discussion reprend et s'oriente maintenant sur Poussin et ses tableaux ; les lignes de force s'enchaînent les unes après les autres sur l'écran , pour faire apparaître des symboles , laissant à penser que Poussin était un Grand initié et un mystique, comme le prouve cet oeil d Horus si cher aux F.M.
D'autres tracés ( moins convainquant en ce qui me concerne ) sensés nous montrer qu'une société secrète " l'AA " obsédait visiblement les peintres…
L'ambiance est chaleureuse ; des questions finissent par s'échapper de spectateurs trop réservés ; une boutade fuse de-ci de-là, le ventre rond , les bouteilles vides, les cerveaux en décomposition, signalent une conférence-débat très réussie …
Jérôme . . .

Je tiens à vivement remercier notre ami Jeff pour l'accueil qu'il nous a réservé , qui a permis ce moment privilégié… a marquer d'une croix (pâtée) . . .
Thome

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Article de l'indépendant
Samedi 8 Février 2003

Rennes-le-Château : retour sur
Le phénomène " pommes bleues "

Un spécialiste des lieux explique le sens d'une indication laissée par l'abbé Saunière.
"Le fou à la ficelle". Voilà comment certains habitants de Rennes le Château ont surnommé Alain Feral. En plus de 20 années passées à étudier sur place le mystère de l'abbé Saunière, l'homme a eu l'occasion d'user ses décamètres. "L'église du village est devenue mon bureau pendant 5 ans" indique-t-il. Il en est certain : "Je suis la personne qui a le plus travaillé sur les lieux". sans jamais émettre de théorie.
Le secret de la crypte.
D'ailleurs, Alain Feral est moins en quête d'un trésor que de sens. Un sens à donner à tous les indices laissés par le célèbre Abbé à l'intérieur même de son église et de son domaine. Parmi eux, les fameuses pommes bleues. "J'ai découvert cette expression en décodant un manuscrit de Saunière" raconte le spécialiste. "Il disait : "Par la croix et le cheval de Dieu, j'achève ce démon de gardien à midi, pommes bleues ". Le déchiffrage ayant été possible grâce aux inscriptions gravées sur la dernière noble du village, Alain Feral décide de se rendre à l'église à 12 heures le jour de sa mort. Le 17 janvier.
Bingo. "A 11 heures 59 et midi une, les pommes représentées sur l'un des vitraux apparaissent exactement sur la petite marche du tabernacle grâce aux rayons du soleil. L'abbé avait même tracé une cible! ".
Des explications farfelues.
Un phénomène curieux à observer, mais surtout intéressant pour sa signification. "Il montre quelque chose", insiste Alain Feral. Un emplacement situé certainement dans la crypte courant au dessous de l'église. "Cette dernière ne fut bâtie qu'en 1200",explique le chercheur. "C'était auparavant un caveau". Le lieu n'avait d'ailleurs rien de secret : l'entrée se situait sur la place du village. L'abbé la scellera au béton au début du siècle dernier.
Car cette crypte a une singulière particularité : "Seuls les nobles pouvaient y être enterrés, et le roi en personne devait donner sa permission". Une tombe de lignée royale résiderait même en ces lieux. Aujourd'hui, plus personne ne sait pourquoi il était jadis si important de reposer à Rennes le Château. "Au moins 350 livres ont été publiés sur la question" indique Alain Feral. "Soit 350 théories, allant du Graal aux soucoupes volantes". Vu le contexte, l'irrationnel prend vite le pas sur la recherche.
Notre spécialiste se refuse donc à tout conclusion. Préférant constater plutôt que déduire, il précise que l'abbé Saunière a usé de son étrange fortune pour reconstruire l'église selon les plans d'origine. Des plans servant aussi à déchiffrer le manuscrit. Le vrai secret de Rennes le Château pourrait donc être bien antérieur à l'abbé et avoir été tout simplement oublié au fil des siècles.
En attendant le fin mot de l'histoire, le visiteur pourra réobserver les fameuses pommes bleues le 17 juin prochain... Si le vitrail obstrué au cours des rénovations est remis en état d'ici là.
L.O.

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Droit de réponse.
Le mot du spécialiste Fou à la Ficelle

( Brut de coffrage )

Trois petites remarques.
1 - Mr L.O. J'ai le renseignement sur le sujet pour lequel vous vous êtes déplacé et sur lequel vous deviez faire un papier : j'ai vérifié, Rennes le Château, c'est dans l'Aude !
Ellipse 1
Rennes le Château se trouve bien dans l'Aude. (11190 )et il s'y passe bien un " truc ( ? )avec le soleil " comme vous me l'aviez demandé ( voir Jean Blum années 90 ), en relation avec le plan d'une seconde église projetée sur les agencements du jardin du Calvaire par Bérenger Saunière ( voir plans 1984 ) qui, elle-même, cette seconde église, est en relation avec le décodage primaire d'un manuscrit - appelé généralement " petit manuscrit " - réalisé au XVII ème siècle, sur papier ordinaire dont le lettrage, précautionneusement disposé correspondrait approximativement au lettrage employé à l'époque du sujet développé par ses auteurs à l'aide d'un habile chiffrage.
Asseyez-vous.

2 - Prenez la peine d'écouter ce dont vous entretient votre interlocuteur " spécialiste " ( ?!), Mr L.O., sans lui répéter à tout instant que vous êtes pressé. C'est inquiétant, et démoralisant.
Plus étiré, ça vous aurait permis de noter les titres de quelques bouquins indicateurs ( G. de Sède. Hé oui, pour le pétard. Corbu-Captier, pour l'héritage. M.Vallet pour la documentation ) etc., il est vrai un peu étouffés, au centre de la saga toute poétique à laquelle se livre un grand nombre d'auteurs.
Ellipse 2
(retour à la fin de l'ellipse 1 : à l'aide d'un habile chiffrage… )
Suite.
Espace
Revenons à notre sujet :
Mise à ras plus ou moins efficace des données recueillies dans le petit manuscrit par l'abbé Saunière !
Donc, bouleversement de l'église principale et rejet (bien ordonné) des anciennes pièces du bâtiment insérées à l'envers désormais dans le plan de cette église au sol du Calvaire.
Martèlement de toutes les inscriptions tombales se trouvant dans un périmètre précis du cimetière.
Fermeture des lieux, des indications et des accès développés dans le petit manuscrit.
Personne n'eut pu mieux faire pour figer l'histoire. Figer ? pas tout à fait…
Car l'église désossée des siècles passés, aux pièces maintenant mises envers, est toujours là, disposée au regard, dans les jardins de l'abbé Saunière ; le petit manuscrit dans les livres ; et la tombe de Marie de Negri d'Ables d'Hautpoul toujours sur la feuille au frottis, relevée par la SESA avant sa disparition.
Et cette insolite immobilisation frappée désormais, du sceau du passé va permettre à Bérenger Saunière de rédiger alors sous son seul nom, à sa convenance et selon ses principes (… !) le second tome de l'histoire transposée du premier.

3 - Et nous aurions alors, Mr L.O., non seulement pu développer rapidement ce second volet mais nous arrêter enfin sur le sujet précis pour lequel on vous avait dépêché auprès de moi.
Le temps qu'une minute passe et qu'un nuage s'arrête pour laisser filer trois pommes bleues, pas plus, le temps d'une minute, à leur poste de garde :
… au seuil du Tabernacle, à l'heure dite, Midi, les 17 janvier et 17 juillet… et dans le fidèle lettrage de l'ouvrage signé Bérenger Saunière : " son église et le grand manuscrit. "
Un petit article de fond, quoi !
Je ne vous en aurais pas voulu et j'aurais même pu, au vu de certains documents, vous expliquer ce que contient, un tabernacle, normalement.

Vous l'avez échappé belle !…

Alain Feral

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Article du Mercredi 05 Février 2003

Conférence du lundi 03 février 2003
à Limoux sur Rennes-le-Château

Lundi 3 février dans la salle Louis Coste de Limoux à 21 h 00, Mr André Galaup, nous a donné une conférence sur rennes le
château.
Suite au reportage de France 2, il s'est senti obligé, de remettre de l'ordre dans l'affaire Saunière. En effet Mme B…. à
Bugarach a déclaré que des extra-terrestres étaient venus rencontrer Saunière pour lui donner des informations…
Le but de Mr Galaup, ex-journaliste du midi libre, et conseiller municipal de Limoux est de montrer au grand jour les documents en sa possession, afin de couper l'herbe sous le pied des mystiques.
Il nous a montré entre autre une lettre de neuf pages découverte par hasard une semaine avant, écrite de la main d'un ancien
instituteur de Rennes le Château et ami de marie Dénarnaud, où il a relevé certaines anecdotes sur Saunière et Marie, non
explosives, mais très intéressantes tout de même. On y apprend que Saunière allait très souvent pêcher le Barbeau dans le
ruisseau des couleurs, où il relevait les paramètres du temps, la couleur de l'eau, de l'appât, la direction du vent, l'heure de la
prise, etc.…
Quand les maçons de Mr Bot travaillaient, Saunière était toujours derrière eux :
_votre mur penche Mr Bot
_Si il penche.
_Redressez-le !
Le gros problème du curé c'était de toujours trouver quelque chose à dire aux personnes qu'il saluait au village, il allait voir tout
le monde, mais c'était dur pour lui de ne pas parler d'autre chose que de la pluie et du beau temps. Cela le tracassait
beaucoup.
Vous savez, dit Marie :
_ On dit que Mr le curé a trouvé un trésor, mais il n'y a jamais eu d'or ici, tous ce que le curé a reçu, c'est les femmes qui le lui
ont donné.
A l'époque, il y avait de belles fêtes ici, vous savez, ils buvaient autant de rouge que de blanc et ils dansaient, oui ils dansaient !
(Imaginez Saunière dansant la bourré avec Boudet ; -)
Saunière aimait ma cuisine, il disait que j'étais un vrai cordon bleu, mais que je me donnai trop de travail, à moi-même, à ma
mère, et a ma soeur de lait Julia.
Saunière couchait toujours au presbytère, jamais à la villa. Il la réservait pour ses invités. Son meilleur ami avait toujours un
bureau, une plume et un encrier plein d'ancre à sa disposition dans sa chambre de la villa.
Saunière était sévèrement royaliste..
Marie était plus intelligente qu'on l'aurait supposé :
_Si les femmes avaient le droit de vote, le maire nous respecterait davantage.
_ Je regrette de ne m'être pas mariée, aujourd'hui j'aurai des enfants et je ne serais pas toute seule.
Ensuite il parle de la famille Corbu de Bugarach, où l'auteur approuve le contrat de viager.
Et nous dit que c'est lui qui a fait l'installation électrique du presbytère.

Le conférencier relève le contre sens dû au fait que si Marie aimait le curé, elle n'aurait pas repoussé trois foi le règlement pour
la fabrication du cercueil de l'abbé.
La conférence continue, avec des avis divergeant fortement, pour Galaup, Redhae est une colline de Limoux, et donc la Capitale
Wisigoth serait en fait Limoux, un monsieur du cru lui répond que c'est sur une carte postale, donc un document non officiel,
etc.…
Galaup, nous parle d'une statue d'Asmodée dans l'église d'une ville à mille km d'ici. Finalement par l'intervention de Nicolas, il
finit par nous montrer la photo sur l'ordinateur qui l'a accompagné tout au long de la conférence. C'est bien une sculpture en
pierre d'Asmodée identique en tout point a celui que nous connaissons, qui de plus soutien un bénitier, mais qui n'est pas en
forme de coquille.
Mr Galaup nous fait pare de petites anecdotes passées lors de ces recherches, dans les année 50 en compagnie de Jean
Claude, de Rignies, de Sède, etc.…, Mais nous confit-il, nous n'avons jamais rien trouvé, si non des bouteilles vide ! ;-)
On a bien ressenti l'humeur agréable de Rennes récemment couronnée, où les chercheurs étaient amis, et n'hésitait pas à
débarquer à l'improviste à 4 h 00 du mat chez le copains.
Bref, pour conclure, je dirai qu'André Galaup commence sa conférence en disant qu'à Rennes il n'y a rien, si non des fous, puis
termine en racontant toutes les découvertes d'Or qui ont été faites il y a une dizaine d'années. Seul petit reproche, il veut
rassembler les chercheurs ayant de véritables documents pour tout mettre en commun et avancer dans la résolution du
mystère. Il dit que les chercheurs ne partagent pas assez leur découvertes, mais quand on lui demande qu'elle est la ville où il
a trouvé la statue d'Asmodée, ils ne veut pas la communiquer.
Très bonne conférence, comme quoi ça n'est pas que dans les jupes de Rédhae que l'on y découvre les dessous.
Il sera prochainement possible de télécharger la conférence qui à durée 2 h. Mais cela représente un très gros travail, alors ne
soyez pas pressés. Sur le site
renne-le-chateau.fr.st

Jérôme

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Article de la dépêche du midi
Mardi 21 Janvier 2003

Rennes-le-Château
La journée des "pommes bleues"

Chaque 17 janvier, un phénomène lumineux se produit dans l'église de Rennes le Château : par le jeu de la lumière du soleil qui passe à travers un vitrail, des "pommes bleues" apparaissent devant le tabernacle. Ce qui attire plusieurs dizaines de personnes, voire près de deux cents comme cette année. Ce phénomène est dû à une intention architecturale de l'abbé Saunière, lorsqu'il restaura son église. Ayant fait ses découvertes grâce à un message codé gravé sur la tombe de Marie de Négri d'Ables, décédée le 17 janvier 1781, il décida de perpétuer ainsi sa mémoire.
Malgré une détérioration du vitrail, à la suite d'une restauration, et une diminution du phénomène, ce dernier déplace toujours les curieux, les passionnés, les chercheurs ou les simples visiteurs.
Près de deux cents étaient présents cette année, venus spécialement des quatre coins de France, et réunis autour d'un repas -rencontre à l'hostellerie de Rennes les Bains, et ce grâce à l'initiative de Jean-Claude De Brou. "D'habitude, c'est toujours informel; on finit dans un "restau" improvisé. Cette année, on a organisé ce repas pour permettre des échanges entre chercheurs, mais aussi une rencontre avec des écrivains ayant publié sur des sujets historiques locaux". Etaient présents : Franck Marie, André Douzet, Georges Kiess, Marc Mirabel, Jean-Pierre Clervoix ( maître en musique maçonnique ), la famille Captier héritière de l'abbé, Jacques hortala, André Salaün, Alain Ferral, Michel Vallet, Robert Thiers et les producteurs du film sur Rennes le Château.
Le premier étage de l'Hostellerie s'est ouvert sur une exposition archéologique et historique sur le site de Rennes le Château et des environs, faisant l'objet d'explications de chercheurs passionnantes. Ce qui reste étonnant, c'est l'éclectisme des motivations qui ont conduit ces presque deux cents convives dans ce lieu, le même jour.
C'est la passion de la recherche qui anime certains comme Mme Sanchez de Carcassonne qui fouille en archives depuis près de huit ans. C'est plutôt une quête d'ordre spirituel qui motive Jocelyne, venue d'Arles avec son mari: "je suis croyante, mais pas pratiquante, dit-elle. La première fois que je suis entrée dans l'église, j'ai ressenti quelque chose d'inexplicable. J'avais l'impression de revenir dans un endroit connu et que je devais retrouver quelqu'un. Pour moi, c'est Marie-Madeleine".
Il y a aussi François de Rouen, chercheur a double titre : d'abord, professionnellement, ensuite sur le mystère de Rennes le Château. "J'applique la même méthodologie, dit-il. Le trésor a évolué depuis vingt ans : de pièces d'or, il est devenu trésor spirituel, puisqu'il est question de secret religieux".
Ce 17 janvier, à Rennes le Château, dans l'église silencieuse, tout le monde était là, à attendre la mystérieuse lumière, comme pour un rite tribal.
Et si ce monde matérialiste à outrance n'avait pas occulté cette part qui nous fait humains d'entre toutes les créatures : la part du rêve et de l'inconnu ?

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Article de la rencontre du Vendredi 17 janvier 2003

Rendez-vous était fixé à 11 h 30 à Rennes-le-Château.

A 10h 30 le parking est déjà plein. De gens qui ont entendu parler de cette réunion sont présents, venant de tous les
horizons, Paris, Lille, Tours ,Auxerre, Lyon, et nos amis anglais, allemands espagnols, italiens, et plus près de chez nous, de l'Ariège et des Pyrénées Orientales .Près de 300 personnes participent à cette réunion .Une seule difficulté:trouver une place pour se garer. Plus on approche de 13h et plus la foule amassée devant l'église devient dense. Mr Jean-François Lhuillier maire de Rennes-le-Château est présent .Les consignes sont simples:respecter les lieux. Les personnes présentes dans l'église sont disciplinées dans l'ensemble.

Treize heures ,enfin et le pommier aux pommes d'or et trois pommes bleues apparaît. L'église est pleine et la difficulté est d'approcher l'autel pour observer le phénomène commenté par André Douzet .Beaucoup de gens ne peuvent l'observer à cause de la foule.

Ensuite, tout le monde se dirige vers la tour Magdala pour la photo de groupe, dans la bonne humeur.
Après plusieurs prises de vues rendez-vous à l'Hostellerie de Rennes-les-Bains où un apéritif nous attend.
Arrivé là décision difficile pour notre Webmaster, 120 personnes avaient réservées leur place, l'Hostellerie peut en accepter 120 (en fait 130 sont acceptés) soixante dix sont refusés faute de place.
Jean-Claude prend le micro et remercie vivement les participants , les politiques ,les écrivains et Bernard de l'Hostellerie pour leur participation à cette réunion et en particulier Mr Robert Coudié Maire de Rennes-les-Bains pour sa contribution à cette journée sans contreparties.
Daniel Dugès prend le micro à son tour et nous dit quelques mots sur son groupe de recherche, sur les parchemins et l'exposition.
Puis c'est le tour de Mr Jacques Hortala conseiller général du canton de Couiza qui d'entrée souligne l'énorme succès de cette journée et le phénomène "pommes bleue".Etant professeur à Couiza l'intéressement à l'histoire de Rennes fait parti de sa vie"Il y a quelque chose à Rennes, c'est sur déclare Mr Hortala. Nous essayons de développer notre région ,nous cherchons une vérité historique et nous débouchons sur quelque chose de fantastique et merveilleux .Vraiment cette journée est un succès".
Jean-Claude nous indique que l'exposition est ouverte et se trouve au premier étage de l'Hostellerie.
Une exposition sympathique nous attend.
Une vitrine ( collection privée de Mr André Douzet ) contenant une chouette en bronze, des dizaines de pièces en argent ,en cuivre ,en bronze de plusieurs époques ,une bague avec un sceau et divers objets trouvés sur le site de Périllos.
Une maquette commandée et exécutée sous les directives de Saunière
La tête sculptée qui se trouvait au Cap de l'Homme (aimablement prêtée par le musée de Rennes-les-Bains)
Plusieurs oeuvres originales de Jules Vernes dont un livre ( Clovis d'Ardentor ) dédicacé à son fils
De nombreuses lettres (correspondance entre divers curés de l'époque) dont une ne laisse aucun doute sur la culpabilité de Saunière dans l'assassinat de l'abbé Gélis.
Divers manuscrits aussi intéressants les uns que les autres
Des tableaux dont l'un décrit un temple circulaire, bref une exposition à voir absolument.

Ensuite tout le monde passe à table.
Au court du repas plusieurs intervenants prennent la parole:
André Douzet nous parle de sa maquette et du site de Périllos.
Daniel Dugès nous livre le système de décodage du grand et du petit parchemin à l'aide de la table de vigenère et le saut du cavalier ,connu des chercheurs depuis pas mal de temps .Il nous donne des détails sur les correspondances entre curé (lettres exposées).
André Salaün nous donne son opinion sur le grand parchemin qu'il croit vrai et le petit parchemin qu'il croit faux car des caractères ont été rajoutés
Jean-Claude pose une question gênante: Qui a tué Gélis ?
André Salaün répond habilement sans donner de nom mais ne laisse aucun doute dans les esprits.
Robert Tiers prend le micro et nous parle de son tableau avec passion.
André Pous lance un appel à tous les chercheurs en leur demandant de se regrouper en association et d'unir leurs efforts et leurs trouvailles car chacun d'entre nous a trouvé un petit morceau du trésor.
Il lance un appel à la prudence et conseille aux chercheurs qui entrerons dans les lieux de bien refermer la porte en partant pour que cela ne nous pète pas à la gu.... (selon son expression)

Michel Vallet nous fait un court commentaire sur l'association Pégase qui pourrait éventuellement répondre à la proposition de Mr Pous, Marc Mirabel chef d 'état major au ministère de l'intérieur et grand passionné de l'histoire de Rennes, qui a bien connu Pierre Plantard et Henry Buthion ainsi que Philippe de Cherisey, nous demande d'avoir en cette journée une pensée affectueuse pour ceux qui nous ont précédés , Noël Corbu, Henry Buthion, Pierre Plantard, Philippe de Cherisey sans oublier....M.....Laborie sans qui nous ne serions pas présent ce 17 janvier.
Un homme dont je ne connais pas le nom prend la parole dit qu'il est éleveur dans l'Ariège et entouré de vaches et que le plus beau trésor est en nous et qu'il nous permet de nous réunir aujourd'hui.
Tout le monde applaudit.
Jean-Luc de Tours (BELATAX) nous demande qu'est ce que le carré sator ? Il nous donne sa version indiquant un lien avec les charpentiers.
Mr Jacques Hortala nous rappelle que l'emblème de Rennes-le-Bains est la croix de St André et rend hommage à Gaston Sudre.
Jean Lecousse ( le plus ancien chercheur depuis 1956 ) nous affirme"Je n'ai rien trouvé mais je suis heureux d'être parmi vous et remercie Jean-Claude organisateur de cette réunion ..
Michel Henry interpelle Jean-Claude et lui demande ce qu'il a trouvé.
Celui-ci répond qu'il n'a rien trouvé et en profite pour remercier ses amis intéressés par l'histoire venu s'installer dans la région: Bernard Vannier, Jean-Pierre Clervoix et son épouse dont la famille a côtoyée Emma Calvé, quelques autres et Jean Lecousse qui a creusé à la dynamite le souterrain qui passe sous l'église de Rennes et débouche sous le presbytère.
"Mais j'avais l'autorisation du Maire "répond jean Lecousse provoquant un éclat de rire général.

Le repas étant terminé certains s'en vont d'autres se dirigent vers le bar de l'hôtel. Des groupes se forment et les discutions s'animent à nouveau. Chacun raconte ses expériences personnelles et les anecdotes ne sont pas en reste. Cette réunion se termine à 2 heures du matin. Une journée à marquer dans les annales.

Jean-Claude Daniel

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