Ici nous évoquons quelques
souterrains en relation
avec l'histoire de
Rennes le Chateau.
Certains ne sont que pure légende.

 Le diable de Rennes le Chateau
 

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Pays de Couiza est le site des 24 communes du territoire, dans l'Aude, ou se situe Rennes le Chateau, Rennes les Bains, et les autres...
Le Centre de Tourisme Equestre de Blanchefort à Cassaignes 


Eglise Saint pierre Rennes le chateau

 

Souterrain du château de Joyeuses

Les souterrains

Le ruisseau de Boudet de rex mundi

Plan de la citerne de Rennes le Château

Souterrain de Camps sur l'Agly

Exploration de la grotte de Blanchefort

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Rennes le Chateau

Le Jardin  Secret

 

Me basant sur les travaux et découvertes d’Alain Féral au sujet de la transposition, dans le jardin du cimetière, de certains éléments mobiliers symboliques de l’église, je me suis aperçu qu’une « anomalie sympathique » apparaissait dans l’agencement de ce jardin.

Une indication ? Pourquoi pas… certainement, en tout cas, l’un de ces clins d’œil auxquels l’abbé nous a habitué.

A l’Occident de l’église et du jardin, figurent respectivement le confessionnal et le pilier « wisigothique » supportant la Vierge de La Salette… et pas de Lourdes, comme on nous rebat régulièrement les oreilles, la Vierge Sévère demandant la Pénitence étant bien celle de La Salette.

A l’Orient, leur faisant face au centimètre près… l’autel dans l’église et le calvaire / croix de mission dans le jardin.

Ces quatre élément mobiliers et symboliques sont tous séparés, les uns des autres, par la même distance… ils délimitent, de fait, un carré parfait.

Restons donc dans le Symbole ; il semble que dans l’église comme dans le jardin, à l’intérieur comme à l’extérieur, Bérenger Saunière ait voulu représenter deux concepts bien séparés… la notion de « Sacrifice », symbolisée par l’autel (lieu du Sacrifice-Eucharistie) ainsi que par le calvaire, tous deux placés à l’Orient, là où se lève le soleil, et la notion de « Pénitence », représentée par le confessionnal et le pilier marqué « Pénitence » implantés à l’Occident.

Le carré est la représentation symbolique du monde terrestre ; peut-être s’agit-il là d’un message de l’abbé ?

Mais si, comme l’indique Jean-Patrick Pourtal dans son site (https://rennes-le-chateau.org/), l’abbé s’est servi des monuments de son jardin pour « donner des indications » relatives au sous-sol de son église… alors, chaque élément du jardin doit être pris en compte.

 

Tombe Marie de Nègre-D’Ables Tombe Barthélémy RIVIERE – Gravure sur clocher

eglise rennes le chateau

Ce qui est relativement intriguant, lorsqu’on étudie minutieusement l’agencement du jardin, c’est que, précisément au milieu de la ligne reliant le Pilier de la Vierge au Calvaire, donc de la Pénitence au Sacrifice dans le monde extérieur, se trouvait autrefois une grille encastrée dans le mur, mais… qui ne pouvait ni s’ouvrir, ni se fermer puisqu’elle était  scellée dans les deux montants du mur !!!     

 

eglise de rennes le chateau souterrain

Photo et commentaire de Jean-Patrick Pourtal  https://rennes-le-chateau.org/index.php/les-jardins-de-leglise/

 

eglise de rennes le chateau le calvaire

eglise de rennes le chateau abbe sauniere aude

La «grille qui ne s’ouvre plus » est située au milieu de l’axe Ouest-Est « Pénitence-Rédemption »

 

Si nous décidons alors d’appliquer la même procédure reproduisant à l’intérieur ce qui est présent à l’extérieur, regardons donc à quoi peut correspondre cette « grille qui n’ouvre pas » à l’intérieur de l’église.

Si l’on reporte exactement dans l’église l’emplacement où se trouvait cette grille scellée, on « tombe », précisément, au centre du chœur, à égale distance du confessionnal et de l’autel (croix rouge sur le plan).

Je me demande si ce n’est pas en cet endroit précis, c'est-à-dire au centre parfait de l’église, que l’abbé Saunière aura trouvé l’entrée du souterrain menant au Tombeau des Seigneurs et (ou) à la Crypte.

Endroit marqué par la « Dalle des Chevaliers » et qu’il aura symboliquement reproduit par une grille fermée dans le jardin. La dalle, quant à elle, étant placée retournée au pied du calvaire, tout comme le pilier « wisigothique » sera, lui-même, inversé. Ce « renversement » des deux objets historico-symboliques du jardin (pilier et dalle) indiquant, justement, que le jardin est une église à l’envers… comme le disait bellement le regretté Alain Féral.

Cette porte sur le mur du jardin, « inutile » et « condamnée à vie », est, pour moi, une autre indication symbolique de l’abbé qui doit nous amener au centre du chœur (cœur) de l’église. A un endroit situé près de Marie-Madeleine mais, aussi, près du mur du Monument aux Morts d’un côté et du clocher et des tombes Rivière et De Nègre d’Ables de l’autre. Deux endroits où des entrées de souterrains sont supposées exister.

rennes le chateau tombeaux

L’abbé Henri Gillard, recteur de l’église de Tréhorenteuc, dans le Morbihan, n’avait-il pas fait peindre (par Jean Markale) sur son porche d’entrée la phrase :      « La porte est en dedans » ?

Aronnax


Rennes le château : Etude sur le sous-sol de l'église Saint Pierre.

Louis Fedie, dans son livre intitulé "Le Comté du Razès et le Diocèse d'Alet", nous parle d'une ancienne tradition concernant une église se trouvant à Rennes le Chateau, et qui fut entièrement détruite.

Reste de l'église Saint Pierre de Rennes le Chateau
Reste de l'église Saint Pierre de Rennes le Chateau

Voici un bref rappel des faits tels que la tradition nous les rapportes:
En 1362 les troupes d'Henri de Trastamare venues de Castille, ravageant les régions de Fenouillède et Peyrepertuse, assiègent la cité de Redhae.
Laissons la plume à Louis FEDIE: "... La ville opposa une vive résistance, mais elle finit par succomber devant un ennemi disposant de forces supérieures et muni d'artillerie.
La poudrière de la Salasse ayant été incendiée, une large brèche fut pratiquée dans les murs de la citée qui
offrit alors un accès facile aux assaillants. Ceux-ci maîtres de la place, rasèrent les fortifications, détruisirent
l'église de St Jenan-Baptiste (remarquez le nom!) et firent de Redhae un monceau de ruines.
Le manoir seigneurial, l'église Sainte Marie-Madeleine et quelques habitations survécurent à ce désastre..."
Parlant toujours de l'assaut de Redhae et de la destruction de l'église St Jean-Baptiste, Louis FEDIE nous dis aussi:
-"...La tradition veut que ces mécréants aient cherché dans l'église St Jean-Baptiste un dépôt précieux.
Elle ajoute que l'église était piégée et qu'une dalle basculante précipita quinze (?) des trop curieux assaillants
dans un cul de basse fosse où ils se rompirent les os..."
Nous savons que le livre de Louis FEDIE fut publié en 1880, date à laquelle Berenger SAUNIERE était vicaire à
Alet-les-Bains depuis 1879. Ce n'est que cinq ans plus tard que Sauniere fut nommé curé de Rennes-le-Chateau, ce qui peut nous laisser dire que Fedié ne fut pas influencé par "L'affaire Saunière" lorsqu'il a écrit son ouvrage.
Par contre, il est fort possible que Saunière fut au courant de cette tradition. N'oublions pas qu'il était un enfant du pays, né à Montazel qui se trouve à quelques kilomètres de Rennes le Chateau, et qu'il jouait certainement dans la campagne alentour comme tout les enfants de cette époque où la télé n'existait pas.
Je pourrais vous citer d'autres auteurs parlant de cette tradition, mais j'ai volontairement voulu m'en tenir à L. Fedié qui en parle bien avant l'affaire de Rennes, et dont la source est plus sûre.
Quel enseignement pouvons nous tirer de ceci?
Premièrement, à l'époque de Fedié ( 1880 ) l'église St Pierre s'appelait St Jean-Baptiste.
Comment et pourquoi le nom fut il changé? Et à quelle date? De Séde la désigne sous le vocable de St Pierre dans son livre "le trésor maudit", qui daterait (!) de 1967.
Deuxièmement, les Aragonais savaient qu'un dépôt précieux était caché dans cette église, mais nous n'avons aucune indication de la nature de ce dépôt. On peu raisonnablement penser que c'est lors d'une de leurs nombreuses attaques dans la région qu'ils en entendirent parler, ou alors cela voudrait dire qu'ils en avait connaissance bien avant et que leur invasion n'était qu'un prétexte pour les amener à Redhae.
Une chose est certaine, c'est que ce dépôt devait être suffisamment précieux à leurs yeux pour risquer un siège qui aurait pu être très long, et surtout qui aurait provoqué beaucoup de pertes humaines de leur coté.
En effet, quand on connait la situation élevée de Rennes le Chateau, surplombant un plateau, on se dit que ce n'est pas trop logique au niveau de la stratégie: les assaillants devaient s'approcher en terrain découvert jusque sous les murs de la cité et si il n'y avait eu la poudrière qui avait explosé, le siège aurait pu durer.
D'autant plus que les assiégés avaient de l'eau (la citerne qui n'est jamais à sec).
Revenons donc à cette fameuse église...
De nos jours il ne reste debout qu'un pan de mur qui sert de mur de fond au local technique de la Mairie.
Sur ce mur il y a encore une meurtrière, ce qui peut nous laisser supposer que l'église était fortifié comme beaucoup d'autres à cette époque. C'est d'ailleurs cette meurtrière qui nous permet de situer approximativement l'emplacement de l'église, et nous fais affirmer que l'actuelle ruelle St Pierre passe juste sur son emplacement.

Voulant savoir ce qu'il y avait de vrai dans cette tradition, je me suis décidé à passer le Géoradar à cet emplacement. Le résultat vous le connaissez pour l'avoir vu dans la partie scan de ce site
( je précise que c'est une première mondiale et qu'aucun autre ne savait ce qu'il y avait dessous!)
néanmoins je vais faire un bref résumé pour ceux qui l'ignorent:
- Nous pouvons constater qu'il existe bien un réseau de galeries ARTIFICIELLE, ou artificiellement aménagées.
En effet, le Georadar nous montre des vides constitués d'angles droits, ce que la nature ne fait jamais.

-Ce réseau de galerie est sur deux étages. Le premier niveau se trouve à 7 m de profondeur, et le deuxième niveau à 14 m. A l'endroit où nous avons scanné, nous pouvons très nettement voir une partie en pente qui semble aboutir sur un objet métallique. Il semblerait qu'il s'agit là de l'escalier permettant d'accéder au niveau inférieur, et la partie métallique pourrait être soit une grille, soit une trappe fermant cet accès.

Au premier niveau, nous voyons donc au moins deux galeries perpendiculaires l'une à l'autre, ainsi qu'une partie de ce qui semble être une salle voûtée. La voûte de cette salle se trouverait à 1 m 50 sous la surface de la rue.
Sur le coté du scan, qui correspond en surface à l'entrée de la rue St Pierre, il existe une galerie naturelle et je pense que c'est le prolongement du trou se trouvant à l'emplacement de l'ancien pressoir, qui se trouvait là ou les services techniques de la commune rangent leurs outils. D'après les anciens, depuis des années quand le raisin était pressé, ils jetaient la pulpe dans ce trou sans jamais avoir pu le remplir ...
Au niveau inférieur, donc à 14 m de profondeur, le Georadar nous montre deux coffres ou coffrets. Ces coffrets sont soit entièrement métalliques, soit remplies de métal (ce qui nous est indiqué par la couleur rouge du scan effectué.) et leur dimension sont approximativement de 80X60 cm. Ils sont espacés l'un de l'autre d'environ 5 m.

Un peu plus loin, au même niveau, le Georadar nous montre une forme rectangulaire en pierre dont les
dimensions sont de 1 m 50 X 50 cm.
l'image est partielle parce qu'en surface un muret m'empêche de bien scanner au dessus de cet endroit,
mais ce pourrait être un sarcophage en pierre.
( la couleur orange indique soit une mineralisation quand c'est proche de la surface, soit de la pierre.).
Je tiens à préciser que j'ai dit "ce pourrait être un sarcophage", mais c'est sans certitude en l'absence
d'image complète et cela n'engage que moi.

Article et photos de Rex Mundi


Les souterrains du château de Joyeuses retrouvés par une équipe d’archéologues.

Que font-ils donc dans ce trou ? Réponse : un tas de choses passionnantes si l’on sait que cet entonnoir n’est autre que la voie d’accès aux souterrains du château des Joyeuses à Couiza. Sur autorisation et avec l’aimable interêt de la mairie locale, propriétaire des lieux, en accord avec M. Pinenc, responsable du C.I.V.A.M, le Centre d’Etude et de recherche archéologique ( C.E.R.A.) évoluent ici depuis le 20 mai, après une première intervention ayant eu lieu les 10 et 11 avril dernier.
L’équipe de travail est d’ailleurs composée de J. Chevenat (Paris), A. Vojnits (Nice), J. et C. Rivière (Lanet).
Chaque membre faisant partie à titre individuel de la société française d’Etudes des souterrains, l’objectif du groupe est bien de mener une étude fouillée et approfondie (on ne saurait mieux dire) de l’ensemble des souterrains du monument.


Les fouilles ont débuté à partir de ce soupirail

Des prospections basées sur les textes.
Rappelons au passage que le château dont les travaux commencèrent sous Jean de Joyeuse en 1540 fut terminé en 1562 par le vicomte Guillaume V de Joyeuse, son fils, lieutenant général en 1561, maréchal en 1582 et chef de la ligue du Languedoc. Les archéologues ne sont pas venus ici oeuvrer à l’aveuglette puisqu’ils appuient leur démarche sur les écrits des auteurs qui tous rapportent l’existence de souterrains, partant de la tour du Levant où l’on s’active donc en connaissance de cause.
De là, la vérification du point suivant de « l’Histoire du Languedoc » de Dom Vaisette : « Guillaume de Joyeuse paraissait aimer et habiter le château de Couiza. En 1575, les hérétiques, devenus maîtres d’Alet, remontèrent la rivière d’Aude, pillèrent le château de Couiza, firent prisonnière la femme du château (Marie de Batarnay). Guillaume n’échappe aux assiégeants qu’en se hâtant de prendre la fuite ».
Egalement, vérifications dans « le comté de Razès » de Fédié 1880 : « La tour du Levant possède aussi un souterrain auquel on aboutit par un étroit escalier en pierre. Ce souterrain se prolonge en dehors de l’enceinte par un chemin voûté, placé à une grande profondeur sous le sol. Cette voie souterraine est impraticable, car elle est obstruée par des amas de terre et de décombres. »


Un parcours déjà bien amorcé

Et M. Rivière d’expliquer aussi : « C’est cette voie que nous nous efforçons de reconnaître. L’escalier de pierre qui s’ouvrait dans la loge du gardien a disparu dans celle-ci transformée aujourd’hui en bureau. Mais existe encore dessous, comme nous avons pu le constater. L’accès actuel, possible dans la tour du Levant est l’étroit soupirail dans lequel il a fallu nous glisser ( photo ci contre) pour pénétrer dans le caveau obstrué de décombres que nous vidons à partir du soupirail. Le caveau est une chambre basse voûtée, sous la tour, d’environ 2 mètres de hauteur. Son remplissage est de sable, de terre, et le sol recouvert de blocs de pierres et de cendres en rapport avec un incendie. Rien ne confirme un remplissage par les crues de l’Aude ».
Il existe de plus une tradition rapportant un itinéraire de souterrains vers les casemates du vieux château.
Le deuxième objectif de l’équipe sera de vérifier l’existence de ce trajet que personne n’a jamais vu depuis Joyeuse, mais qui se trouve rapporté dans le livre de Fédié : « Si l’on fouillait le sol des Pailles (usines désaffectées en cours de réaménagement) on trouverait des caves aujourd’hui comblées et l’orifice d’une voie souterraine qui communique avec la tour du Levant au moyen du souterrain ». Il y a dix ans, une partie du parcours aurait été révélée lors de travaux effectués sur le terre-plein, comme l’affirme un témoin venu rendre visite au chantier.
Les archéologues accepteront donc avec plaisir les témoignages qui pourraient leur être rapportés à ce sujet.
En attendant, on ne peut que se féliciter de voir cette entreprise intelligente, officiellement encouragée par le maire M. Faure, porter un nouvel éclairage d’actualité sur un monument qui mérite amplement d’être de mieux en mieux connu et apprécié à sa juste valeur.
D’où le haut intérêt de ces fouilles patiente et concertées dont les résultats heureux seront sans nul doute en osmose avec la pénétrante passion de ceux qu’ils mobilisent avec ardeur, sur ou plutôt sous le terrain.

Article de l'indépendant



Week end de recherches à Camps sur l'Agly


Cavité de 1m80 de profondeur

A Camps sur l'Agly, il y a un château au pied duquel existe un souterrain. Lors du Week-end organisé par des amis chercheurs, je fus invité à passer le géoradar à l'emplacement supposé du souterrain.
Pendant qu'Alaric03 allait dans le souterrain en reconnaissance ( je lui tire mon chapeau), je scannais la surface.
Résultat: En bleu nous voyons nettement une partie du souterrain, avec la courbe vers le bas de l'image indiquant que le tunnel tourne pour se diriger en direction du village. Cette courbe nous a été confirmée par Alaric03 qui nous l'a signalé lorsqu'il était sous terre. Le souterrain se trouve à environ 1m70 à 1m80 de profondeur, et nous entendions très bien les personnes entrées à la suite d'Alaric qui parlaient.
Il serait intéressant de scanner le chemin en entier afin de pouvoir remonter le tunnel et voir ou il débouche.


cavité de 7m de profondeur, 1m60 de largeur

Mais je pense que le plus intéressant n'est pas le souterrain du château, qui est assez connu, mais plutôt le camping.
En effet, lorsque j'ai montré à Gérard Rival le fonctionnement du géoradar, qu'il a su apprécier en tant que professionnel, nous avons scanné une petite bande de terrain.
En arrivant chez moi, j'ai voulu traiter aussi ce scan par curiosité sans penser y voir quelque chose d'intéressant.
Voici le résultat:
Il semblerait qu'une cavité existe sous le camping, dont la largeur fait environ 1m60 et se trouvant à environ 7m de profondeur.
D'après le résultat du scan, on peut penser que cette cavité est artificielle, dans la mesure ou les parois semblent être rectilignes, contrairement à ce que l'on trouve dans les cavités naturelles.

Je crois que si on scannais ce camping on aurait sûrement des surprises, et ce serait bien d'avoir plus de renseignements sur l'histoire de cette endroit (légendes, souvenirs...)

Article et photos de Rex Mundi


Exploration de la grotte de blanchefort

Sur la route de Couiza à Serres au croisement de Cassaignes, nous laissons les véhicules pour grimper sur les hauteurs du roc de Blanchefort.

10 mètres en dessous du sommet nous prenons connaissance de l'ouverture de la grotte de blanchefort.


Grotte de Blanchefort


Renfoncement de la roche


Beaucoup de personnes confondirent cette grotte longtemps bouchée avec le renfoncement de la roche formant le trou circulaire bien connu juste au sommet.

Cette grotte de blanchefort est porteuse d'une ancienne légende stipulant qu'un grand trésor constitué de pièces d'or y serait caché. Une autre légende bien plus ancienne raconte qu'un habitant des Bains de la reine aurait vu le diable caché un trésor sur la montagne de blanchefort.

Cela nous incite à nous demander s'il n'y aurait pas dans chaque légende une parcelle de vérité. Paul Urbain de Fleury alors propriétaire terrien de cette montagne, aurait mis ce villageois en procès pour violation de propriété privé.

Nous allons maintenant vous présenter le plan de la grotte de Blanchefort en coupe transversale :


Grotte de Blanchefort

Nous insistons sur le fait que le passage au 2ème étage par l'ouverture entre les deux rondins de bois et la paroi est très mince et que la descente comme la remonté se fait par la force des bras. Si vous ne comptez pas descendre mais traverser les rondins pour arriver au bout du 1er étage, faites très attention et soulagez votre poids en vous appuyant sur les parois à l'aide de vos bras, car les deux rondins de bois se font vieux et craqueront un peu à votre passage. :

Article et photos de Jérome Baraton


Le ruisseau de Boudet

Le passage est étroit, mais une fois à l'intérieur cela s'élargit. On distingue au fond sur la gauche une voie qui s'enfonce vers le bas, et sur la droite une autre voie qui s'enfonce sous la montagne ( voie humide et voie sèche ?).
Du déblaiement à faire, car il y a beaucoup de sédiment, mais à l'entrée de la grotte on à l'impression que des restes de liant ( chaux ou "ciment") ont servis à boucher l'entrée à une certaine époque.
Cette grotte se situe dans l'ancien lit d'une source ou rivière, et vu son emplacement on peut sans crainte affirmer qu'elle fut derrière une cascade à l'époque où il y avait de l'eau. Ceci n'est pas pour le mystère, mais je signale à ceux qui ne le sauraient pas que quand une rivière souterraine ne peux plus passer par le tunnel qu'elle a creuser pour différentes raisons (éboulements ...) elle passe en surface. De là vienne les grottes situées derrière les cascades, qui ne sont rien d'autres que les anciennes voies de sortie d'une rivière souterraine.
Les anciens auraient pu, lors d'une sécheresse, découvrir cette grotte et ......


Photo Clicable


Photo Clicable


Photo Clicable


Photo Clicable


Article et photos de Rex Mundi


Le plan de la citerne de Rennes le Château 1873

Document trouvé aux archives départementales de l'Aude par Michel Vallet
et publié avec son aimable autorisation

Avec plusieurs membres de l'A.I.C.T nous avons exploré cette citerne il y a une vingtaine d'années.
Nous avons constaté que le puits du château actuel débouchait dans la citerne, en effet on voit encore sur le côté droit à l'intérieur de la citerne le passage ou débouchait le puits du château.
Il serait très intéressant de savoir l'endroit exact de la source et d'ou elle vient.
Alain CH... pense que l'eau s'écoule de la partie haute de Rennes le Château.


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Les souterrains



 Cette entrée semble être un souterrain bouché.
Il se situe dans la Sals sous Coustaussa. Nous n'avons à ce jour fait aucune investigation.




A Blanchefort nous avons pu observer plusieurs galeries ou souterrains comme la photo ci-dessus. Il y a une dizaine d'années, un groupe de chercheurs ont creusé une galerie qui traverse Blanchefort pratiquement de part en part.
Ils sont tombés sur un puits qui semble descendre dans les entrailles de Blanchefort.
A ce jour il nous a été impossible de passer le passage étant beaucoup trop étroit.
Avis aux amateurs.

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