Le journal non officiel
de la région de
Rennes le Chateau

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Pays de Couiza est le site des 24 communes du territoire, dans l'Aude, ou se situe Rennes le Chateau, Rennes les Bains, et les autres...
Le Centre de Tourisme Equestre de Blanchefort à Cassaignes 


JOURNAL

 

 

Méchoui des chercheurs du samedi 5 aout 2017
A l'Hostellerie de RENES LES BAINS

 

mechoui de rennes les bains samedi 10 aout 2013

 

Bonjour à toutes et tous

Comme chaque année le Cercle du 17 janvier organise le Méchoui des chercheurs au mois d'août
C'est-à-dire le samedi 05 août 2017 à partir de 19 heures

Ce Méchoui convivial aura lieu au jardin de l'hostellerie à Rennes les Bains.
Il est nécessaire de réserver le plus tôt possible les places étant limitées. Les premiers à réserver seront les premiers servis.
Réservation en libellant votre chèque de réservation à l'ordre de L'Hostellerie Rennes les Bains

Adressez vos chèques à:
L'hostellerie de Rennes les Bains

11190 Rennes les Bains

Libellez vos chèques à l’ordre:
L'Hostellerie Rennes les Bains

Repas : Boissons comprises : 28 euros par personne

Menu :

Apéritif
Entrée : buffet, crudités, charcuterie.
Méchoui d'agneau .Garniture
Buffet de Dessert
vin
Café

Le repas du 05 août est ouvert à toutes et tous adhérents du cercle ou pas.
Venez nombreux!

Clôture des inscriptions le 30 juillet 2017

Les places étant limitées, donc les premiers qui réserveront seront les premiers servis

Prix du Repas 28 euros


Sortie du samedi 20 mai 2017
Eglise de Corsavy - 66150

 

 

Chers (e) membres et amis du Cercle du 17 janvier

 

Comme il avait été  programmé lors de l’assemblée générale du 16 janvier une visite de la petite église ruinée et restaurée de 1981 à nos jours de Corsavy est prévue le samedi 20 Mai 2017.

Le président de l’association qui a restaurée l’église s’est proposé de nous servir de guide de 10 heures 30 à midi, visite gratuite.  Il mettra à notre disposition pour ceux qui le souhaitent une documentation et ses livres sur cette église. (Livre payant)

Sur place - Des tables pour pique-niquer.

Le parking   est à 150 mètres de l’église et l’église à 600 mètres du village de Corsavy.

Chacun vient avec son pique-nique "et du rosé bien frais  "

L’adresse :

Eglise : sant martí de cortsaví

66150 CORSAVY

Corsavy église

louis

 

 

http://www.guideduvallespir.com/accueil/vallespir-tourisme/le-vallespir/les-villages-du-haut-vallespir/corsavy/

Consacrée en 1158 par Artal, évêque d’Elne, l’église et le clocher subirent de gros dégâts en 1428, le jour de la chandeleur, suite à un violent tremblement de terre.
Vers 1500, après un pillage et le meurtre du prêtre, elle subsista à l’état de ruines.
Si la plus grande partie des parements inférieurs manque, c’est qu’ils ont servi à murer les baies et la porte pour transformer en 1870 cet édifice en citerne à eau, après la pose d’un bon enduit hydraulique sur les murs intérieurs.
Citerne abandonnée au début du XXe siècle. En 1981, un breton et un catalan décidèrent de sauver l’église et depuis, organisés en association, une équipe de bénévoles réalise une remarquable restauration !
Edifice bâti en moellons de granit de taille très régulière, une frise à dents d’engrenage accompagne le mur méridional et l’abside. L’arc triomphal est surmonté de deux oculi.
L’accueil de Monsieur Jean Pierre sur le chantier valait bien ce petit PP !
Merci pour la visite

l'église sant martí de cortsaví

située à 1km du village de corsavy,l'église sant martí de cortsaví, "saint martin de corsavy",fut consacrée en 993 puis en 1158 suite à une reconstruction.elle est dans le plus pur style roman du vallespir.elle restera église paroissiale de corsavy jusqu'à la fin du XVIe siècle.elle est actuellement en cours de restauration grâce aux bénévoles de l'association "salvaguarda de sant martí" et de la municipalité de corsavy.

historique de sant martí de cortsaví contée par monsieur jean-pierre vergès:

pourquoi restaurons-nous cette église?

de retour d'une excursion au canigou,en août 1981,un breton et un catalan décidèrent de sauver les magnifiques ruines de l'ancienne église saint martin,proche du village de corsavy,en vallespir.appelée "église vieille" depuis son abandon au XVIe siècle,cet édifice fut consacré en 1158 par Artal,évêque d'elne.en partie détruit lors du tremblement de terre de la chandeleur 1428,puis pillé vers 1500 et depuis en ruine,ce bâtiment devint une carrière de granit,puis transformé en citerne de récupération des eaux de pluie aux alentours de 1870,abandonné en 1917.

 

doc1

en août 1981,une équipe de jeunes,encadrée par nos deux montagnards,commence à défricher autour et dans l'église où une importante végétation a pris place.une association "salvaguarda de sant martí de cortsaví" est créée,regroupant une dizaine de personnes motivées par la préservation du patrimoine local.

en 1982,l'association demande à la municipalité d'acheter les ruines et l'acquisition est réalisée l'année suivante.et quelques temps plus tard, un protocole définissant les buts poursuivis et les rapports entre l'association et la municipalité est signé.

durant les trois premières années,l'église est dégagée de la végétation qui l'étouffe et le site est aménagé.le monument est débarrassé de la terre et des gravats qui l'envahissent.les vestiges  du clocher sont mis à jour dès 1982.en 1983 et 1984,des sondages sont exécutés.

en 1985 commencent les premiers travaux de restauration proprement dits:dégagement des restes du clocher du Xe siècle,remontage des murs,construction d'un escalier d'accès en taille de pierre pour commencer à reconstituer les parements intérieurs disparus,grâce aux calepinages fournis par le service départemental de l'architecture des pyrénées-orientales.

des chantiers avaient lieu régulièrement chaque année pour continuer à sauver ce patrimoine.il y a quelques années encore de nombreux jeunes se relayaient sur le site,y apprenant la maçonnerie,la construction des murs en pierres sèvhes,le gâchage du mortier de chaux,la taille du granit et la forge des outils.

au cours des 30 dernières années ont été restaurés,reconstruits même,le chevet ainsi que la chapelle latérale sud et leurs toits d'ardoises,la porte monumentale,les piliers et l'arc triomphal,l'abside et tous les murs intérieurs de l'église,dont les parements avaient disparus au cours de ces cinq cents ans d'abandon et de pillage.en 2003,le coffrage puis la voûte de pierre en arc brisé sont réalisés.en 2005 son posées les dents d'engrenage,les corniches extérieures ainsi que le toit d'ardoises brutes (200m²).puis les deux acrotères est et ouest sont réalisées.dès 2012,le clocher du Xe XIe siècle commence à être relevé avec les autorisations de la DDE,de l'architecte des bâtiments de france de la DRAC et des monuments historiques.

l'on peut dire aujourd'hui que les ruines de sant martí de cortsaví sont sauvées.le site est aménagé,entretenu par la municipalité et la restauration se poursuit.cette mission nécessite des équipes plus petites et déjà formées.cette action bien ancrée dans le pays indique que les travaux se poursuivront pour que restent vivantes l'histoire de ce pays,sa civilisation,sa culture,son architecture médiévale.

le chantier de saint martin de corsavy est exemplaire dans la mesure où s'est instauré un dialogue permanent entre bénévoles architeste des bâtiments de france et municipalité,ayant pour but la mise en valeur d'un monument médiéval,littéralement arraché à l'oubli,animé par la population locale et de plus en plus visité dans cette région touristique du vallespir.

 

 

http://www.lindependant.fr/2012/08/17/les-racines-d-acier-de-jean-pierre-verges,159101.php

chapelle 1981

http://marmotton66.e-monsite.com/pages/paysages-de-montagne/l-eglise-sant-marti-de-cortsav.html

 


Méchoui des chercheurs
Samedi 8 août 2015

Méchoui des chercheurs du 8 Aout 2015

 

Une petite partie des convives le reste étant à l’abri de la pluie

 

Ils étaient une centaine de convives au traditionnel méchoui des chercheurs organisé par le Cercle du 17 Janvier et leurs  amis tous heureux de se retrouver autour d’une bonne table au Jardin de Marie à Rennes le Château. Tout au long de la journée, malgré la pluie, Pierre, Maitre Rôtisseur, s’affaira pour préparer deux excellents agneaux  farcis  -
L’équipe de Morgan à l’accueil  avec un punch dont il a le secret  et s’ensuivit un buffet d’entrées, méchoui servit à table, fromage dessert, café.
La soirée fut animée par une chanteuse avec un répertoire de Piaf en première partie – Alain animateur chanteur bien connu de la région clôtura la soirée avec son répertoire de variétés formidablement interprétées.   
Et c’est avec un réel plaisir que chacun a partagé ce délicieux repas et vécu une joyeuse soirée dans une  bonne ambiance détendue et festive.

 

 


vierge

Le pain du buffet

grotte

Le méchoui

vierge

Alors tu la pousses la chansonnette Jean Paul ?

grotte

Le plus ancien chercheur Guy en compagnie Jean-Luc, même la belgique s'est déplacée!!!

vierge

Le cornemusier Jean Paul

grotte

Une assemblée de chercheurs et de trouveurs!!!

 

 


 

La nuit des templiers au chateau du Bézu du 12 au 13 octobre

Bonjour à toutes et tous

Comme chaque année, les amis du cercle du 17 janvier seront présent au château du Bézu dans la nuit du 12 au 13 octobre. Ceux qui souhaitent se joindre a nous sont évidemment les bienvenus. Chacun vient avec son repas. Le mieux pour le côté convivial est de prendre des grillades (saucisses, ou autres, pommes de terres a cuire au feu de bois) enfin vous amenez de quoi passer une nuit agréable.

Pensez qu'il peut faire froid et pleuvoir.

Pour ceux qui ont la trouille des fantômes il n'y a pas de remède, sauf la fuite donc prenez de l'éclairage.

Pour le parcours:

Limoux /Couiza . De Couiza prendre la direction Quillan, à l'entrée de Campagne sur Aude tourner à gauche direction Granes, Le Bézu. Au Bézu prendre la direction les Tiplies, y laisser votre véhicule et monter au château.

Le chemin monte légèrement avec un dénivelé moyen, il faut compter entre 20 et 30 minutes de marche. Pour les personnes agées ou en surcharge pondérale comptez 10 minutes de plus.

Si parmi les participants il y a un historien pour nous narrer l'histoire du château et de son seigneur, il est le bienvenu et l'apéritif lui sera offert.

Donc rendez vous le 12 au soir au château dit des templiers.

L'énigme des Templiers dans la région du Bézu ne serait pas complète s'il n'y avait aussi quelque manifestation étrange en relation avec la fin de l'Ordre. Je vous invite donc, une prochaine nuit du 12 au 13 octobre à faire l'ascension du Roc du Bézu et à vous installer dans les ruines ; à la clarté lunaire, vous apercevrez l'à pic vertigineux et au fond de l'abîme, la métairie des Baruteaux ; là se trouve le puits mystérieux où repose depuis plus de six cent cinquante ans la petite cloche d'argent des Templiers. Toutes les nuits du 12 au 13 octobre, selon la légende, elle sonne le glas ; et vous verrez ensuite une longue file d'ombres blanches venant du cimetière abandonné et montant vers les ruines ; ce sont les Templiers trépassés ; ils cherchent l'église, la petite église d'autrefois, pour y chanter l'office des défunts. C'est, paraît il, une vision assez impressionnante ; l'ancien chantre de Saint-Just et du Bézu, Raymond Sire, qui connaissait toute l'histoire du pays dans ses moindres détails, disait qu'à sa connaissance personne n'avait jamais eu le courage d'attendre l'arrivée des ombres dans les ruines. Et il terminait son récit par cette remarque malicieuse : " Une descente rapide et nocturne sur les pentes raides du Bézu n'est pas à conseiller, d'autant plus qu'en de telles circonstances, elle ne peut être que très rapides

 


 

Article du 2 Novembre 2012


Notre ami Jean Pellet nous a quitté le 11 septembre 2012 –
Voici quelques photos de ses obsèques au crématorium de Trêbe –
Beaucoup se réfèrent de lui et pourtant le jour de son départ seuls une dizaine d’amis étaient là-

Jean était l’un des plus vieux chercheurs, il participât à de nombreux reportages pour la TV –
C’est Jean qui fit venir Henri Buthion à Rennes le Château et lui fit découvrir cette histoire –
Mon cher ami Jean maintenant toi tu sais, surtout ne fait pas de scandale là-haut , ne dis pas tout ce que tu penses autrement tu vas te faire jeter – Souhaites toutes nos amitiés à ceux qui sont là-haut , si on arrive en retard qu’ils ne s’inquiètent pas , de toutes façons on viendra c’est sur-

mardi 3 mars 1987
Rennes le Château au secours du peuple juif

Pendant les travaux, le mystère continue...
La grand-messe ésotérique reprend de plus belle

Rennes le Château, c'est un piton de cailloux juste au dessus de Couiza; c'est aussi le bouton de fièvre de l'Aude. "
Ici, les accès sont fréquents et violents. Tout peut arriver à Rennes, et tout y arrive, en fait: Et que l'on ne vienne pas nous refaire le couplet sur le battage des médias. En 1965, déjà, le maire de la commune qui, depuis, en a vu d'autres, était amené à prendre un arrêté municipal inédit, interdisant les fouilles sur tout son territoire! Motif: Certains chercheurs tentaient de débusquer le trésor de Béranger Saunière... à la dynamite.
La grand messe ésotérique tournait à la boucherie. Car la clé de voûte de la popularité de Rennes, c'est bien ce fabuleux mystère bâti autour du curé, en poste au début du siècle. A sa mort, les langues des paroissiens et des autres se délièrent. On apprit que Béranger Saunière avait dépensé, en quelques mois, ce qu'un curé de campagne gagnait pendant toute sa vie, fût_elle, par la grâce de Dieu exceptionnellement longue. II était donc dit que Béranger avait un trésor, caché là, quelque part dans Rennes ou sur le plateau calcaire, troué comme un fromage de gruyère, qui l'entoure. Le site, l'histoire récente du curé, l'histoire ancienne du lieu, et les mythomanes qui se succédèrent à la tribune contribuèrent à faire de Rennes le haut lieu des chasseurs de trésor. C'est alors que l'on découvrit vraiment l'incommensurable délire de l'imagination humaine en marche. Oh I bien sûr, il y eut, dans le flot de maniaques de tous crins, suffisamment de gens bien intentionnés pour faire du trésor de Béranger Saunière une mine de papier. On ne vous apprendra rien en rappelant que nombreux furent les " écrivaillons " qui se remplirent les comptes en banque en spéculant sur de prétendus trouvailles, sur l'imminence de la découverte du siècle. En vrac, on vous livre les hypothèses chocs : Béranger Saunière avait acquis la preuve que Jésus Christ en personne aurait cté l'époux, sinon l'amant, de Marie Madeleine.
Sur ce, le Vatican, empressé d'étouffer le scandale du millénaire (sinon des deux derniers millénaires ...). le Vatican se serait donc empressé de verser au curé de Rennes largement de quoi acheter son silence.

Mais il y a mieux. Certains affirment, aujourd'hui, que le Christ soi même, gît quelque part du côté de Rennes ! Que sa dépouille est là, à portée de pioche…Alors, tout le monde s'est remis à creuser. Enfin, presque tout le monde, car Michel Gaillaud écrivain, installé depuis deux ans au village, est, lui, persuadé qu'une faille " spatio-temporelle " est sur le point de s'ouvrir, à Rennes ! II s'applique donc à poursuivre ses travaux d'alchimie. Jean Pellet, un, chercheur lyonnais de 56 ans, prétend, quant à lui, qu'il est sur le point d'aboutir. II s'apprête à mettra tout simplement la main sur le ' trésor du temple de Salomon et son fameux chandelier à sept branches, symbole du peuple juif. "Je ne peux pas me tromper ", avoue avec humilité le Lyonnais, qui a quand même, derrière lui, trente ans de traque sans merci. Car voilà trois décennies que Jean Pellet décidait de tout plaquer pour se consacrer à la seule recherche du trésor de Rennes !
Le chercheur espère obtenir très vite les autorisations de fouilles qui lui sont nécessaires (pour donner le coup de pioche décisif. Une simple question de jours .
En attendant, à Rennes, la vie continue, triste comme un jour d'hiver, le coeur de I économie lie de ce secteur de la haute vallée battant de plus en plus faiblement. Le trésor de Béranger Saunière a peut être suscité des vocations, mais il n'a pas créé d'emplois. Sur la dépouille du curé milliardaire les héritiers spirituels s'entre-déchirent, s'épient, s'espionnent; les théoriciens s'affrontent, se retrouvent au tribunal I Des missionnaires anglais se sont retrouvés excommuniés par l'Église anglicane pour cause d'ésotérisme exagéré I Les autochtones, incrédules , comptent les coups. Rennes le Château, c'est Dallas...sans les dollars.

Photo : Jean Pellet, chercheur Lyonnais de 56 ans, est
à deux coups de pioches de la trouvaille du millénaire :
le chandelier à sept branches du peuple juif, enfoui quelque
part par Béranger Saunière, avec le trésor du roi Salomon.
Tout simplement.

 


Le repas du 6 août 2011


 


Journée du 17 janvier 2009

Remise en place de la croix du curé Jean Vié

Jeannot expliquant l'un des mystères de la tombe de Jean Vié

Jean Paul sonneur de cornemuse nous joue amazing-grace

17 janvier 2009  

Comme chaque année la réunion du cercle du 17 janvier est de plus en plus appréciée -
C'est entouré de 120 personnes que la croix de la tombe de l'abbé Jean Vié fut posée ce 17 janvier 2009 au cimetière de Rennes les Bains -
Notre ami Jean Brunelin dit l'amiral nous fit un petit résumé de ce que la tombe de Jean Vié représente dans l'histoire de Rennes le Château , elle est un élément essentiel à la ligne fictive dite du 17 janvier ? Cette ligne qui rejoint Rennes le Château en passant par le Cap de L'homme, lisez son petit fascicule et vous en découvrirez la solution, qui pour lui est un endroit non loin de la bergerie dite de Paris.
C'est cérémonie se finie au son de la cornemuse qui une fois de plus en a émue plus d'un, merci Jean Paul Lefur pour ce moment d'émotion.
Arrivé à Rennes le Château ça ne c'était jamais vu les parkings étaient tous saturés, l'église envahie par la foule des aficionados venus des quatre coins de l'Europe.

Cette belle rencontre se continua par un repas à la salle des fêtes de Rennes les Bains ou plus de cent personnes se retrouvèrent jusque fort tard dans la nuit-

Les pains de l'amitié offerts par Jean Bertrand


Le chateau du Bézu
Nuit du 12 au 13 octobre


Bonjour à toutes et tous-

Comme chaque année le cercle du 17 janvier sera présent au château du Bézu dans la nuit
du 12 au 13 octobre-

Ceux qui souhaitent se joindre à nous sont bien évidemment les bienvenus -
Chacun vient avec son repas le mieux pour le coté convivial est de prendre des grillades
(saucisses, ou autres, pommes de terres à cuir au feu de bois) enfin vous amenez de quoi passer une nuit agréable -

Pensez qu'il peut faire froid et pleuvoir -

Pour ceux qui ont la trouille des fantômes il n'y a pas de remède, sauf la fuite donc prenez de l'éclairage -

Pour ce qui est du parcours-

Limoux - Couiza
De couiza prendre la direction Quillan, à l'entrée de campagne sur Aude tourner à gauche direction Granès, Le Bézu-
Au Bézu prendre la direction les Tipliès , y laisser votre véhicule et monter au château -
Le chemin monte légèrement avec un dénivelé moyen, vous comptez 20 minutes à 30 minutes de marche -

Pour les personnes âgées ou en surcharge pondérable comptez 10 minutes de plus -

Si parmi les participants il y a un historien pour nous narrer l'histoire du château et de son seigneur ,
il est le bienvenu et l'apéritif lui sera offert -

Donc rendez vous le 12 au soir au château dit des templiers

Voici un lien sur notre sortie 2007
http://www.renne-le-chateau.com/templier/templier.html

Merci à tous de nous prévenir de votre participation ( serbairou@wanadoo.fr)


Le repas des chercheurs
Rennes les Bains
Le 8 Août 2008



Encore une bonne petite soirée…

Pour les initiés, les sympathisants, voire certains autres, les soirées du Cercle sont devenues quasi incontournables et les organisateurs, victimes de leur succès, en sont arrivés bien malgré eux à devoir y refuser du monde. Certaines mauvaises langues iront jusqu'à dire que sans ces agapes, il ne se passerait vraiment pas grand chose au Cercle…
Pour ce qui me concerne, je voudrais souligner ici toute l'importance de ces moments de convivialité, de rigolade, de franche camaraderie. Cela me fait personnellement le plus grand bien de pouvoir rencontrer des gens qui savent encore s'amuser. A une époque où les interdits se font de plus en plus nombreux : on nous empêche de fumer, on nous empêche de boire, prendre sa voiture devient un acte d'incivilité, il faut manger bio, ne pas faire d'excès, être écolo… A l'heure où une minorité de pisse-froid prétendent imposer à tous leurs congénères un mode de vie qu'ils prétendent idéal ; quand, petit à petit, insidieusement, toutes nos libertés individuelles tendent à disparaître " pour le bien " d'une société de plus en plus fade, il est rassurant de constater que quelques irréductibles gaulois résistent encore au rouleau compresseur du conformisme.
Je sais, je n'ai rien compris, ces bienfaiteurs de l'humanité agissent pour mon plus grand bien en voulant régenter à ma place chaque instant de ma vie. Vous rendez-vous compte, mon pauvre ami, tous ces gens qui meurent chaque année des méfaits du tabac, de l'alcool, de la vitesse, des maladies cardio-vasculaires, de la pollution, de la canicule, d'une alimentation trop riche… C'est un véritable scandale. Mettons un terme à tout cela. Suivez donc leurs conseils avisés et vous aurez l'insigne privilège de mourir à cent ans, en bonne santé, après avoir passé vingt-cinq années de sénilité dans une maison de retraite où l'on aura pris bien soin de vous…
Sous prétexte de nous empêcher de mourir, on finit par nous empêcher de vivre. Alors, mes amis, " carpe diem ". Multiplions ces instants de convivialité. L'occasion de faire la fête entre amis que vous laissez filer aujourd'hui est perdue à jamais. Elle ne se représentera ni demain ni un autre jour. Quant à moi qui, lors de notre dernière assemblée générale ai été bombardé préposé aux agapes, je remercie tous ceux qui, en cette longue, très longue soirée du 8 août m'ont permis de passer de bons moments en excellente compagnie.
JPC






Rencontre du 17 janvier 2008

Sépulture de Jacques Rivière au petit cimetière de Lanet


 

C'est à 10 h le 17 janvier 2008 que les membres et sympathisants du cercle du 17 janvier se rendirent pour l'inauguration de la stèle de notre ami Jacques Rivière décédé il y a un an et demi.


A cette occasion Jean-Luc Chaumeil lui rendit hommage par l'évocation d'une journée sympathique passée avec lui au château familial de Carenac.

Les membres du cercle se sont souvenus que Jacques à la fin de sa vie avait souhaité avoir une colombe sur sa tombe, nous lui avions promis que sa volonté serait exaucée et plus si besoin était.


Le cercle du 17 janvier a donc exaucé sa volonté le moment venu et financé par les dons de ses membres (que nous tenons a remercier ici) la stèle et sa mise en place.

Nous tenons aussi à remercier les habitants de Lanet, Madame MIMI qui ont su prendre soin de Jacques à la fin de sa vie et qui continuent encore aujourd'hui à entretenir la dernière demeure de notre ami Jacques.


Repas du cercle du 17 janvier 2008 à Rennes les Bains.

 Comme chaque année nous étions une centaine de personnes pour fêter ce 17 janvier autour d'un repas.

Nous en profitons ici pour signaler à nos lecteurs que le cercle du 17 janvier n'est pas qu'une rencontre annuelle autour d'un repas. C'est aussi 3 autres rencontres ouvertes à toutes et tous. Une, vers pâques, une autre début août et une autre le 13 octobre au château du Bézu.

Le cercle c'est aussi chaque année la restauration d'un monument situé sur le canton de Couiza.

N'en déplaise à nos critiqueurs et jaloux qui eux n'ont jamais rien fait pour la collectivité si ce n'est de vouloir à tout pris remplir leurs caisses en utilisant le thème de Rennes le Château par tous les moyens : hé oui il n'y a pas de petits profits !!!.
Pour répondre à Blum qui au demeurant n'a jamais mis les pieds au cimetière de Coustaussa avant la restauration de la tombe de l'abbé Gélis, nous lui disons ici :
- non la tombe de l'abbé Gélis n'a pas été déplacée ni modifiée,
- non la tombe de l'abbé Gélis n'a jamais regardé Rennes le Château pas plus que les autres tombes du cimetière de Coustaussa.

Non robin, nous ne nous sommes pas approprié le 17 janvier, nous avons crée l'évènement la première fois en 1974 chez Bouscarbies à couiza.

Oui non avons crée le méchoui des chercheurs à Rennes les Bains avec René et Kamel Guenoun en 1980.

Messieurs les critiques, il y a tellement de choses à faire pour le patrimoine de notre canton qu'il ne vous reste plus qu'a retrousser vos manches et vous mettre à l'ouvrage, pas pour remplir vos caisses et exister mais pour le bien de la collectivité.
Messieurs les critiques sans rancune ni haine nous vous souhaitons bon courage.


Repas après la réunion du cercle du 16 janvier 2008

chez Jeff à la maison du chevalier à Camps sur l'Agly
avec les membres du cercle du 17 janvier
.

jeff rennes le chateau
Jeff et Ariene

bernard rennes le chateau
Bernard

guy rennes le chateau
Les anciens

rico rennes le chateau
Rico

Alaric rennes le chateau 2008
Alaric

jean pierre brian rennes le chateau
Jean pierre et Brian

jean rennes le chateau
Jean Lecousse

titus et galahad rennes le chateau
Jean et Bertrand

Blanchefort


Article de La dépêche du midi du lundi 2 octobre 2007

La célèbre madone noire a été décapitée à Notre Dame de Marceille,
dans la nuit de dimanche à lundi. Le manteau est également volé

La tête de la vierge de Marceille a disparu


En haut à gauche, la vierge telle qu'elle était encore dimanche soir. A droite, ce qu'il en reste après le vol

Le cambriolage s'est déroulé dans la nuit de dimanche à lundi, dans la basilique de Notre Dame de Marceille à Limoux. Le manteau et la tête de la vierge de Marceille ont été dérobés. Seul le jésus que la madone noire porte dans son bras gauche est resté intact. D'après les premières constatations, aucun autre objet n'a été volé dans la basilique cette nuit-là.
Hier matin, les électriciens de l'entreprise Robert ont donné l'alerte en arrivant sur le chantier de rénovation. "Je suis arrivé peu de temps après, vers 9 heures, raconte André Fenet, membre de l'association chargé de veiller sur l'édifice religieux de la route de Pieusse.

"En rentrant dans la basilique, ils ont vu que l'électricité avait sauté durant la nuit. Quand j'ai vu la vierge dans cet état, j'ai été très choqué".
Pourtant dimanche, à 19 heures, André Fenet se rappelle qu'il a verrouillé normalement Notre Dame de Marceille: "J'ai fait mon tour d'inspection comme d'habitude, avant de fermer la porte d'entrée. Il me semblait qu'il n'y avait plus personne à l'intérieur. Mais le ou les auteurs du vol avaient dû se cacher dans le coeur pour opérer dans la nuit. L'alarme de la grille de protection de la vierge ne fonctionnait pas depuis quelques temps. Il était facile de la fracturer".

La gendarmerie d Limoux s'est très vite rendue sur place, accompagnée d'un technicien en identification criminelle pour relever les moindres indices. Aucun élément ne permet encore de privilégier une piste.

L'évêque dira une messe vendredi
Déjà volée dans les années "80", la vierge noire avait été récupérée un mois plus tard chez un antiquaire lillois. Y a t-il eu un nouveau service commandé pour la voler? Le réseau est-il le même que celui qui a dérobé ces derniers mois le trésor de la cathédrale de Perpignan et vandalisé l'église de Leucate?

Connue depuis le Moyen Age, la statuette limouxine, 55 centimètres de haut, taillée dans un bois dur et noir, a pourtant une valeur surtout spirituelle. Objet de dévotion depuis des lustres, elle possède aussi, selon la légende, des pouvoirs miraculeux. Selon les croyances, "celui qui voit la statue lui sourire est sûr d'obtenir la grâce qu'il désire"
Mgr Planet, évêque de Carcassonne se dit scandalisé par cette "profanation commise au sanctuaire de Notre Dame de Marceille". Vendredi, à 18 heures, il se déplacera à la basilique Notre Dame de Marceille pour dire une messe.
.

Thierry Dupuy


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